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Un homme d'une vingtaine d'année à l'identité incertaine a blessé "sans raison apparente à ce stade" mercredi matin six personnes, dont une grièvement, avec un poinçon gare du Nord à Paris, avant d'être maîtrisé par des policiers qui l'ont blessé par balle.
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Selon un communiqué de la procureure de Paris Laure Beccuau, "il pourrait s’agir d'un homme né en Libye ou en Algérie et (âgé) d'une vingtaine d'années".
Toujours hospitalisé, touché deux fois au thorax et une fois au bras, "il n'a pas pu être auditionné compte tenu de son état de santé", a poursuivi la magistrate.
Selon une source policière, le suspect est libyen, né en 2000 et arrivé en France il y a trois ans, sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et connu des services de police pour des faits de droit commun.
Les autorités françaises n'expulsent pas vers la Libye en raison de l'instabilité politique qui règne dans ce pays, déchiré depuis la chute du Mouammar Kadhafi en 2012 par des affrontements entre factions rivales, a fait valoir auprès de l'AFP le ministère de l'Intérieur.
La France n'entretient "pas de canal d'échanges pour l'identification des ressortissants libyens", a-t-on ajouté.
Les faits se sont déroulés peu avant 06h45 dans la gare, en plein cœur du Xe arrondissement de Paris, à une heure de forte affluence.
Aucun élément de l'enquête ne permettait mercredi soir d'évoquer une attaque à caractère terroriste, selon une source proche du dossier. Cette hypothèse "n'est pas privilégiée", a-t-on commenté.
Le Parquet national antiterroriste (Pnat) a indiqué à l'AFP qu'il était "en évaluation".
Une enquête pour tentative d'assassinat a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à la police judiciaire.
Le suspect, qui a utilisé un "crochet métallique", "s'est soudainement mis, sans raison apparente à ce stade, à frapper une première victime avec son arme, victime à laquelle il a asséné une vingtaine de coups", a détaillée Mme Beccuau, qui est allée sur les lieux.
Au total, six personnes ont été blessées: deux hommes de 41 ans et 36 ans - ce dernier était toujours hospitalisé mais hors de danger - un policier de 46 ans affecté à la police aux frontières (PAF) de la Gare du Nord, et de trois femmes de 40, 47, et 53 ans.
- Enquête sur une vidéo de l'agression -
Rapidement sur les lieux après l'agression, M. Darmanin a précisé devant la presse qu'un des policiers intervenants était en civil et hors service. Porteur de son arme comme il en a l'autorisation, cet agent de la préfecture de police (PP) de Paris rentrait chez lui.
Selon une source policière, deux policiers de la PAF étaient en patrouille au niveau de l'escalier d'accès à l'Eurostar au moment des faits.
L'un d'eux a tenté de ceinturer l'agresseur qui l'a blessé avec son poinçon. Son collègue a alors tiré avec son arme, tandis que le policier de la PP, alerté par le bruit, est aussitôt arrivé et a lui aussi ouvert le feu sur l'assaillant.
Comme il est d'usage après des tirs effectués par des policiers, l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie.
Le ministre de l'Intérieur a affirmé que le suspect n'avait rien formulé oralement lors de l'attaque.
Le parquet de Paris a également ouvert une enquête confiée à l'IGPN pour violation du secret professionnel et violation du secret de l’enquête, après que le préfet de police lui a signalé une vidéo publiée sur Twitter de l'agression, semblant provenir des images de vidéosurveillance.
Le trafic de la gare n'a pas été interrompu par l'agression.
La gare du Nord est la première gare d'Europe et la troisième gare mondiale en termes de flux. Elle accueille 700.000 personnes par jour et plus de 220 millions de visiteurs par an.