Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Les trois personnes prises au piège à 900 mètres de profondeur, après l'effondrement jeudi d’une galerie dans une mine de potasse de Suria, en Catalogne (nord-est de l'Espagne), sont mortes dans l’accident, a annoncé le président régional catalan.
Taille du texte:
"Nous pouvons malheureusement confirmer la mort de trois personnes qui effectuaient des tâches dans la mine", a déclaré Pere Aragonès à la presse, sur les lieux.
Il a précisé qu'il s'agissait de "trois jeunes d'environ 30 ans" dont les corps ont pu être "récupérés et identifiés".
La communication des autorités locales autour du sort de ces trois personnes a été marquée par un impair, Pere Aragonès ayant annoncé sur Twitter dans la matinée "la mort des trois mineurs", avant d'effacer son tweet quelques minutes plus tard.
Selon les pompiers, les trois victimes se sont retrouvées "prises au piège à environ 900 mètres de profondeur".
L'accident a eu lieu peu avant 09H00 locales (08H00 GMT), a indiqué la police régionale, qui a déployé des unités spécialisées pour participer aux opérations de recherche, dont une unité canine.
- Inspection récente -
Un salarié de la mine, Carlos Arnaldo, a expliqué à la presse que les trois victimes étaient en train d'accomplir "une tâche qu'ils doivent faire chaque jour". Il a souligné, avant que leur mort ne soit confirmée, qu’il était "difficile" d'imaginer qu'ils aient pu survivre.
"Parfois, la mine ne prévient pas. Le toit s'effondre et il n'y a rien à faire", a-t-il dit.
Parlant d'une "terrible nouvelle", la ministre du Travail, Yolanda Díaz, a fait part de sa "solidarité aux familles et aux collègues des salariés victimes d'un effondrement dans la mine de Suria".
Responsable des entreprises au sein du gouvernement régional catalan, Roger Torrent a assuré, pour sa part, que le dernier contrôle de la mine par les autorités avait eu lieu "il y a trois semaines" et qu'"aucune irrégularité" n'avait été détectée.
- Deux morts en 2013 -
Cette mine de potasse appartient à ICL Iberia, filiale en Espagne du groupe israélien ICL.
Sur son site internet, cette entreprise basée à Suria, localité située à environ 80 km au nord-ouest de Barcelone, dit employer 1.100 salariés et être "l'unique entreprise produisant des sels de potassium en Espagne".
Elle possède deux mines dans cette zone "qui représentent", selon elle, "l'une des réserves de potasse les plus importantes d'Europe occidentale".
Deux mineurs étaient morts dans un accident dans cette même mine de Suria en décembre 2013 à la suite de l'effondrement d'une galerie, selon les médias locaux.
Le plus grave accident minier survenu ces dernières années en Espagne a eu lieu en octobre 2013. Six personnes étaient mortes et cinq avaient été blessées en raison d'un coup de grisou dans la mine de charbon de Santa Lucía, dans la province de León (nord-ouest). Le procès des dirigeants de l'entreprise s'est ouvert récemment.
En août 1995, quatorze personnes étaient mortes à la suite d'un autre coup de grisou dans une mine de la région des Asturies (nord).