Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Les propriétaires de la discothèque qui s’est effondrée il y a deux mois en République dominicaine, la pire catastrophe nationale avec plus de 230 morts, comparaîtront libres lors de leur procès pour homicide involontaire, a annoncé jeudi matin un tribunal dominicain.
Taille du texte:
La juge Fátima Veloz a ordonné qu’ils versent une caution de 50 millions de pesos (plus de 730.000 euros) et leur a interdit de quitter le pays. Ils sont également tenus de se présenter régulièrement devant le tribunal, a expliqué leur avocat Miguel Valerio à la sortie de l’audience tenue mercredi soir.
"Si, au final, la vérité démontre que nous avons une responsabilité pénale, nous l’assumerons", a-t-il assuré.
Le parquet avait réclamé la détention préventive pour Antonio Espaillat, propriétaire et gérant du club Jet Set, et l’assignation à résidence pour sa sœur Maribel, qui en assurait l’administration. Tous deux avaient été arrêtés jeudi dernier.
Le ministère public, qui affirme que les accusés ont "modifié de manière significative" la structure du bâtiment, a fait appel de la décision rendue par la juge Veloz. "Le tribunal n’a pas mesuré à leur juste valeur les faits", a déclaré Wilson Camacho, son représentant.
"Il n’a pas correctement apprécié l’ampleur du préjudice causé à la société dominicaine" et "cette décision se moque des victimes", a-t-il ajouté.
Le parquet dénonce une "exploitation négligente" du Jet Set et a relevé de nombreuses défaillances structurelles du bâtiment.
Selon le parquet, les propriétaires de la discothèque ont intimidé des employés pour les empêcher de conserver des preuves dans l’enquête.
Les familles des victimes ont déposé une centaine de plaintes civiles contre cette puissante famille, également propriétaire d’un groupe de médias et de restaurants.
L’accusation d’homicide involontaire est passible, en République dominicaine, d’une peine de trois mois à deux ans de prison.