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Deux nouvelles personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire samedi dans le cadre de l'enquête sur le casse spectaculaire du Louvre, portant à quatre le nombre de suspects écroués dans ce dossier.
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Il s'agit d'un homme de 37 ans, soupçonné d'être un des quatre membres du commando ayant dérobé des joyaux le 19 octobre dans le musée le plus visité au monde, et d'une mère de famille de 38 ans.
"Lors de leurs auditions de garde à vue" puis devant le magistrat samedi, ces deux personnes, interpellées mercredi soir, "ont contesté toute implication", a précisé la procureure dans un communiqué.
L'homme a été mis en examen pour vols en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de la préparation du crime de vol en bande organisé. "Connu de l'autorité judiciaire notamment pour des faits de vol", il a "sollicité un débat différé" et "été incarcéré provisoirement dans l'attente" de l'audience prévue "dans les prochains jours" devant le juge des libertés et de la détention (JLD), a-t-elle ajouté.
La femme a de son côté "été mise en examen pour complicité de vol commis en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de la préparation du crime de vol en bande organisée", a indiqué Mme Beccuau. Elle a été placée en détention provisoire par le JLD, conformément aux réquisitions du parquet.
Lors du prononcé de la décision, la magistrate a évoqué un "ADN de transfert", qui pourrait être le fruit d'une contamination indirecte. Elle a motivé l'incarcération par "un "risque de concertation" et de "trouble à l'ordre public".
L'un des avocats de cette mère de famille, Me Adrien Sorrentino, a souligné que cette dernière "contest(ait) farouchement les incriminations retenues".
- "Filets dérivants" -
Deux trentenaires, soupçonnés d'avoir fait partie du commando de quatre hommes, avaient déjà été arrêtés il y a une semaine. Ces deux habitants d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), âgés de 34 et 39 ans, ont été mis en examen et placés en détention provisoire mercredi soir.
Ces deux hommes (l'un arrêté à l'aéroport de Roissy alors qu'il tentait de rejoindre l'Algérie, l'autre à Aubervilliers) ont fait des aveux "minimalistes", avait indiqué Laure Beccuau jeudi matin.
"Il y a quatre auteurs, il en reste au moins un à retrouver, plus sans doute le ou les commanditaires, ainsi que les bijoux. C'est la grande préoccupation", a déclaré le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez dans un entretien publié samedi par Le Parisien.
"Il y a plusieurs hypothèses concernant les biens, y compris qu'ils soient déjà écoulés à l'étranger. Mais je reste confiant que l'on puisse les retrouver", a déclaré le ministre.
Il a estimé qu'"il n'y a pas de raison de penser à des ingérences étrangères, y compris russes, dans cette affaire".
"Dans ces affaires de grande criminalité, nous constatons que les vagues d'interpellations ressemblent davantage à des filets dérivants", ont réagi auprès de l'AFP Sofia Bougrine et Noémie Gorin, avocates de l'une de ces personnes.
Les nouvelles interpellations étaient liées à des éléments comme des traces ADN, la vidéosurveillance ou l'examen de la téléphonie, avait expliqué Mme Beccuau.
- "Faille sécuritaire majeure" -
Ce cambriolage spectaculaire a provoqué des débats-fleuves sur la sécurité du Louvre.
La ministre de la Culture Rachida Dati a dévoilé vendredi les premières conclusions de l'enquête de l'Inspection générale des affaires culturelles, avec un bilan très critique: "Une sous-estimation chronique, structurelle, du risque intrusion et vol" par le Louvre, "un sous-équipement des dispositifs de sécurité", une gouvernance "pas adaptée" et des protocoles de réaction aux vols et intrusions "totalement obsolètes".
Elle a annoncé des mesures pour répondre à une "faille sécuritaire majeure" à l'extérieur du musée.
Le jour du casse, les quatre malfaiteurs avaient pu garer un camion-élévateur au pied du musée, permettant à deux d'entre eux de se hisser avec une nacelle jusqu'à la galerie d'Apollon.