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L'acteur américain Johnny Depp a répondu à ses détracteurs mercredi au Festival de Cannes, en affirmant que ce qui a été écrit sur lui était en grande partie "une fiction horrible".
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"Il y a des gens qui veulent croire ce qu'ils veulent croire, mais la vérité est la vérité. (...) Lors des cinq, six dernières années, la majorité de ce que vous avez lu est une fiction horrible", a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse consacrée à "Jeanne du Barry", le long-métrage de Maïwenn où il incarne Louis XV.
Banni des plateaux de tournage américains depuis les procès qui l'ont opposé à son ex-épouse Amber Heard sur fond d'accusations de violences conjugales, Johnny Depp, 59 ans, a retrouvé mardi les honneurs du monde du cinéma, en foulant le tapis rouge aux côtés de l'équipe du film, projeté en ouverture.
Avant de préciser: "Je ne me sens pas boycotté parce que je ne pense pas à Hollywood".
"C'est une époque étrange et drôle où tout le monde a envie d'être soi-même mais n'en est pas capable... Il faut rentrer dans le rang", a-t-il ajouté.
Interrogé sur ce qu'il a ressenti ces dernières années, il a estimé que la situation ressemblait à une "mauvaise blague", notamment lorsqu'on "te demande de te retirer d'un film parce qu'il y a juste des paroles qui flottent dans l'air".
Il a ironisé sur le mot "come-back" utilisé par les médias pour qualifier son retour. "Apparemment, j'ai eu 17 retours jusqu'à présent... Je ne suis parti nulle part", a-t-il dit.
Il s'est aussi dit "très fier" du film "Jeanne du Barry", jugeant que Maïwenn a été "très courageuse d'avoir choisi un gars du Kentucky pour incarner Louis XV" et qu'elle a été "très patiente avec lui".
Johnny Depp a été accueilli chaleureusement parmi les mégastars, comme Uma Thurman, Michael Douglas ou Catherine Deneuve, qui ont fait l'ouverture du Festival de Cannes mardi soir, en dépit des critiques de féministes sur la réhabilitation d'une personnalité contestée.
Il a enchaîné selfies et autographes sur le tapis rouge, avant d'assister à la cérémonie d'ouverture.
Plusieurs organisations féministes ont fait part de leur écoeurement, Osez le Féminisme appelant même au boycott du Festival. "Le sentiment d’impunité qui ressort (du choix de ce film en ouverture) nous glace", ont dénoncé plusieurs collectifs comme 50/50, le Lab Femmes de cinéma ou 1.000 visages.