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Des centaines de taxis manifestaient jeudi pour le quatrième jour consécutif contre les nouvelles conditions du transport sanitaire et la concurrence des VTC, a-t-on appris auprès de leurs représentants.
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A Pau (Pyrénées-Atlantiques), devenu un des centres de la mobilisation parce que c'est la ville du Premier ministre François Bayrou, des centaines de taxis, 100 selon la police, étaient encore mobilisés jeudi matin, selon Stéphane Abeilhou, l'un des représentants des taxis venus d'Occitanie.
Ils demandent à rencontrer Olivier Faure, patron des députés PS, présent jeudi à Pau pour dédicacer son dernier livre.
Ils aimeraient aussi rencontrer François Bayrou. "Si le Premier ministre ne souhaite pas de débordement, il doit nous recevoir, sinon il en sera comptable", a lancé M. Abeilhou.
Le réunion du conseil départemental, prévue vendredi matin à Pau, a été reportée à une date ultérieure, en raison de cette mobilisation.
A Paris, plusieurs centaines de taxis venus de toute la France bloquaient toujours le boulevard Raspail, près du ministère des Transports, a indiqué l'association Elite Taxi, qui défend les intérêts de la profession.
Et un barrage filtrant a été mis en place à l'entrée de l'aéroport Charles-de-Gaulle par une vingtaine de taxis, selon un des organisateurs.
L'intersyndicale des taxis a entamé lundi une mobilisation massive pour protester contre un projet de nouvelle tarification de l'Assurance maladie sur les transports de malades par des chauffeurs de taxi conventionnés.
Ces trajets vers les hôpitaux ou cabinets médicaux représentent une part essentielle du chiffre d'affaires de nombreux chauffeurs.
Le climat s'est tendu à plusieurs reprises avec les forces de l'ordre mais aussi avec les conducteurs de voitures de transport avec chauffeur (VTC).
La plateforme de VTC Uber a appelé au calme mercredi en regrettant l'agression physique de quatre chauffeurs, "incluant des menaces avec une arme à feu, un taser et même avec utilisation d'une bombe lacrymogène".
Le ministère des Transports a proposé mercredi un contrôle renforcé des VTC.