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Le président américain Donald Trump cherche lundi à accélérer la conclusion d'accords commerciaux à l'avantage des États-Unis, tout en semblant prêt à accorder de nouveaux délais avant d'imposer des droits de douane plus élevés au reste du monde.
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Le chef de l'État a annoncé qu'il enverrait lundi une première série de 12 à 15 lettres, à autant de partenaires commerciaux, mentionnant la surtaxe qu'il compte mettre en place sur leurs produits entrant sur le sol américain.
Il s'agit pour lui de maintenir la pression à l'approche du 9 juillet, échéance qu'il a lui-même fixée pour l'entrée en vigueur de droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux.
Son ministre des Finances Scott Bessent a toutefois annoncé pendant le week-end que ces droits de douane additionnels (prévus pour atteindre jusqu'à 50%) ne seraient pas collectés avant le 1er août, pour donner plus de temps à la négociation.
Un document doit encore être signé pour officialiser ce changement de date.
Scott Bessent a assuré lundi sur la chaîne de télévision CNBC que "plusieurs accords" seraient annoncés "dans les prochaines 48 heures.
"Ma messagerie était pleine de nouvelles propositions (des partenaires commerciaux des Etats-Unis, NDLR) hier soir", a-t-il ajouté, tout en affirmant que "le président Trump s'attachait à la qualité des accords, pas à la quantité".
- Du blé dans la balance -
L'Union européenne (UE) a rapporté lundi qu'un "bon échange" téléphonique s'était tenu la veille entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et M. Trump.
L'Indonésie a annoncé de son côté qu'elle allait signer un accord pour importer au moins un million de tonnes de blé américain par an pendant les cinq prochaines années, pour un montant de 1,25 milliard de dollars.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a fait des droits de douane un axe central de sa politique économique: levier de négociation pour obtenir des concessions de l'extérieur, moyen de défendre l'industrie nationale ou encore source de nouvelles recettes publiques.
Il déteste l'idée que les États-Unis aient des déficits commerciaux, c'est-à dire qu'ils importent plus de marchandises en provenance d'un pays qu'ils n'exportent vers ce pays.
Ce sont ces partenaires commerciaux qui sont menacés de droits de douane punitifs depuis avril.
"Je suis heureux des progrès qu'on a obtenus parce que tous les pays avec lesquels on a un gros déficit (commercial) sont pleinement engagés" dans les négociations, a affirmé lundi sur CNBC l'architecte de l'offensive douanière américaine et conseiller de Donald Trump, Peter Navarro.
Les "difficultés" viennent selon lui du fait que "ces pays ont beaucoup de mal à abandonner les avantages qu'ils ont par rapport à nous".
Dimanche, le président américain a par ailleurs menacé d'aller plus loin à l'encontre des pays du groupe Brics (comportant notamment Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud).
"Tout pays s'alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n'y aura pas d'exception à cette politique", a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.