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Le trafic des trains à grande vitesse dans le Sud-Est est fortement perturbé lundi après un acte de vandalisme au sud de la gare de Valence, causant des perturbations pour une centaine de TGV selon les chiffres du ministère des Transports.
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En plein milieu des vacances scolaires de la Toussaint, de nombreuses annulations et retards allant jusqu'à sept heures, étaient à déplorer ce lundi.
Le retour à la normale est "prévu" mardi "dans la matinée", a indiqué le ministère des Transports dans un communiqué lundi vers 13 heures, alors que de nombreux TGV entre Paris et Marseille, Montpellier ou Nice, ont d'ores et déjà été supprimés. En revanche, les perturbations ne concernent pas la ligne entre Paris et Lyon.
"Une vingtaine d’agents" sont "à pied d’oeuvre", et ce "jusqu’au milieu de la nuit s’il le faut" pour rétablir une circulation normale "demain à la première heure" a affirmé Frédéric Guichard, directeur des opérations Sud-EST SNCF Réseau, lors d'un point presse près du lieu du sabotage, à Saint-Marcel-lès-Valence, au sud de la gare de Valence TGV.
Le dirigeant a précisé que "le feu a été mis directement dans les chambres de tirage des câbles", sorte de boîte en béton où sont tirées les câbles de fibre optique pour être connectés au réseau, sans disposer de "plus de précisions sur le mode opératoire".
Dans un premier temps confiée à la brigade de recherche de Romans-sur-Isère, l'enquête est désormais entre les mains de la section de recherches de Grenoble, a indiqué la gendarmerie de la Drôme à l'AFP. "Les enquêtes de gendarmerie viennent de se terminer", a annoncé Frédéric Guichard.
- Report des voyages préférable -
"Tous les TGV empruntent un autre itinéraire via la ligne classique afin d'éviter la zone de l'incident", ajoute la SNCF. Mais cette même ligne a elle aussi été l'objet d'un "vol de câble caténaire" dans la nuit de dimanche à lundi, et sa capacité est "très limitée", raison pour laquelle "seuls quelques trains seront détournés", a expliqué la SNCF à l'AFP, invitant les clients à "reporter leur voyage". ²
Gare de Lyon, à Paris, deux files d'environ 150 m pour l'accès aux bornes et au guichet de la gare se sont rapidement formées.
Lina, étudiante allemande qui voyage en Europe et se rendait lundi à Barcelone, en fait partie: "J'étais dans le train et ils m'ont dit qu'il était cassé, je n'ai pas tout compris c'était en français. J'espère récupérer mon argent et prendre un bus."
A la gare de Lyon Part-Dieu, les trains vers Marseille sont supprimés, tout comme des liaisons vers Luxembourg ou Le Havre.
A Marseille, gare Saint-Charles, plusieurs dizaines de voyageurs consultaient lundi matin les panneaux d'affichage pour voir si leur train était maintenu ou annulé - comme pour Lyon Part Dieu, Nice, Paris, Lille Flandres, ou encore Nancy, a constaté un journaliste de l’AFP.
Tout le long du quai jusqu'au bureau de la billetterie une longue queue de voyageurs de tous âges. "Bienvenue dans la jungle", lance en plaisantant un employé SNCF à un couple de voyageurs qui arrivent à la gare.
"Pardon monsieur je voulais aller à Lille qu'est-ce que je peux faire ?", s'enquiert la septuagénaire, Jeanne-Marie, venue voir des amis à Marseille, poussant sa valise et tenant à la main un sac de voyage. "Demain", lui répond un employé de la SNCF.
En gare de Toulouse Matabiau, vers 08H00, de longues files d'attente se formaient aussi devant les guichets fermés en raison des perturbations sur la ligne Toulouse-Lyon.
Ylona, 21 ans et son amie Victoriana, 22 ans, se rendaient à Sète lundi. "Et moi qui voulais arriver tôt à Sète ce matin pour avoir le temps de me reposer avant de reprendre mon travail demain matin, c'est raté", remarque Victoriana.