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Les finances publiques sont "sur les rails" pour respecter la prévision d'un déficit budgétaire de 5,4% du produit intérieur brut (PIB) en 2025, selon le gouvernement qui a présenté son projet de loi de finances de fin de gestion (PLFFG) en conseil des ministres lundi.
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Les ministres Roland Lescure (Economie) et Amélie de Montchalin (Comptes publics) ont présenté dans la matinée le texte, qui doit ensuite être déposé devant l'Assemblée nationale. Il "retrace l'exécution budgétaire de l'année 2025" et constitue une "photographie de l'année en cours", a indiqué la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, à l'issue du conseil.
L'objectif de déficit public en 2025 est "sur les rails" et sera "tenu" ce qui "prouve que nous sommes capables de maitriser nos dépenses publiques", a-t-elle estimé.
Le gouvernement projette de ramener le déficit public à 5,4% en 2025 après 5,8% en 2024, et maintient également son objectif de croissance à 0,7% du PIB en 2025.
Le texte prévoit par ailleurs d'annuler 1,2 milliard d'euros de crédits, correspondant à la différence entre l'ouverture de 3 milliards d'euros de crédits supplémentaires pour financer divers "aléas de gestion", et l'annulation de 4,2 milliards d'euros de crédits, dont une "grande partie" sur la réserve de précaution des ministères, précise le gouvernement.
Le total des dépenses du périmètre de l'Etat est en hausse de 0,3 milliard d'euros par rapport à la loi de finance initiale, relève Bercy auprès de l'AFP.
Dans le détail, 1,1 milliard d'euros supplémentaires financeront la hausse des charges du service public de l'énergie, 300 millions d'euros seront affectés à la mission Défense, et 200 millions pour la mission Sécurité, afin de répondre à des surcoûts opérationnels dans les Outre-mer notamment, précise le texte.
A noter d'autres ouvertures de crédits pour financer l'hébergement d'urgence (100 millions d'euros), des aides et prestations sociales, notamment la prime d'activité (300 millions d'euros) ou l'allocation adulte handicapé (100 millions d'euros).
Les annulations de crédits affecteront notamment la mission Travail, emploi et administration des ministères sociaux à hauteur de 800 millions d'euros, ainsi que la mission Recherche et enseignement supérieur (-250 millions d'euros), et Economie (-180 millions d'euros).
Du côté des recettes, les rentrées liées à l'impôt sur le revenu sont en petite hausse par rapport à la prévision initiale (+400 millions d'euros), tandis que les recettes d'impôts sur les sociétés augmentent plus nettement (+5,2 milliards d'euros).
Les recettes de la contribution différentielle sur les plus hauts revenus (CDHR) ont en revanche été revues à la baisse, estimées à quelque 1,4 milliard d'euros, contre 2 milliards d'euros selon le projet de loi de finances initial.