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Le président français Emmanuel Macron se rend mercredi dans le sud de la Suède, au second jour de sa visite d'Etat, pour mettre l'accent sur l'innovation face aux défis climatique et numérique, et débattre de la démocratie avec des étudiants.
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Accueilli avec le faste propre à une visite d'Etat dans le royaume scandinave, le président a appelé mardi l'Union européenne à des décisions "courageuses" pour accélérer et amplifier son soutien militaire à l'Ukraine.
La crise agricole, qui agite la France comme d'autres pays de l'Union européenne, s'est aussi invitée lors de cette première journée à Stockholm, au cours de laquelle il a défendu la politique agricole commune mais a promis de porter, jeudi à Bruxelles, certaines revendications des paysans français.
Mercredi, il doit intervenir à un forum d'affaires avec des chefs d'entreprises français et suédois dans la capitale, après avoir vanté des investissements croisés en croissance et le "niveau historique" des échanges de biens et de services entre les deux pays, à hauteur de 22 milliards d'euros.
Ensuite, direction la Scanie, dans le sud du pays. Dans la ville universitaire de Lund, Emmanuel Macron doit visiter l'European Spallation Source (ESS), une installation de recherche scientifique censée devenir la source de neutrons la plus puissante du monde, cofinancée par la France avec 12 autres pays européens.
Paris et Stockholm veulent renforcer leur coopération dans le nucléaire civil.
Il s'agit pour le président français et les dirigeants suédois de se poser en leaders européens en matière d'innovation "face au défi de la transition verte et numérique", comme l'explique l'entourage d'Emmanuel Macron.
Enfin, à l'Université de Lund, il participera au "Studentafton", un temps d'échange avec les étudiants, véritable institution de cet établissement partenaire de Saclay, près de Paris.
Au cœur des débats, "les enjeux de résilience des sociétés démocratiques européennes", à moins de cinq mois des élections européennes qui pourraient voir l'extrême droite progresser fortement.
En France, le Rassemblement national fait pour l'instant la course en tête dans les sondages, loin devant le camp présidentiel, une situation qui peut résonner en Suède, où le Premier ministre conservateur Ulf Kristersson dirige un gouvernement de coalition soutenu par le parti d'extrême droite Démocrates de Suède (SD), qui n'a toutefois pas de ministres.