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Les Jeux olympiques de Paris, débutés sous des trombes d'eau, se terminent dimanche sous une vague de chaleur écrasante qui englobe quasiment toute la France, avec 40°C dans le Sud-Ouest dimanche après-midi et 45 départements placés lundi en alerte orange canicule.
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La poussée du thermomètre, déjà forte dans le Sud-Est samedi puis dans le Sud-Ouest dimanche, va s'étendre au reste du pays et notamment le Centre, la Bourgogne et la région parisienne.
Il faisait 34°C à Paris à 18H00.
Pour les athlètes du monde entier qui avaient défilé sur la Seine et sous une pluie battante le 26 juillet lors de la cérémonie d'ouverture, le contraste thermique sera marqué dimanche soir au Stade de France: le mercure devrait être proche de 31°C à l'heure de la cérémonie de clôture (21H00).
Et, partout en France, la priorité est de s'hydrater, de rechercher l'ombre, un peu d'air ou la fraîcheur d'un lieu de baignade, sous des températures dépassant 30°C sur quasiment l'ensemble du territoire.
À Lormont, banlieue populaire de Bordeaux, l'interdiction de se baigner dans l'étang de l'Ermitage, ancienne friche industrielle devenu réserve de biodiversité, a été bravée par quelques dizaines de nageurs dimanche après-midi par près de 40°C à l'ombre.
"Chez nous il fait très chaud, on cherchait vraiment la fraîcheur", a expliqué à l'AFP Florian Boursier, 34 ans, salarié dans l'industrie.
"On est de Bordeaux, on voulait aller à la plage mais on s'est levé un peu trop tard pour y aller... Du coup on s'est rabattu sur le lac", poursuit-il.
- Gironde torride -
Dans le Sud-Ouest, les plages du golfe de Gascogne ont été placées en alerte maximale samedi et dimanche pour le risque de baïnes, piscines naturelles sources de courants marins dangereux pour les baigneurs, appelés à rester dans les zones surveillées.
Bordeaux a échappé aux 40°C, avec 38,5°C enregistrés à la station Bordeaux-Mérignac à 17H00, encore relativement loin du record enregistré pour un mois d'août (40,7°C en 2003), et du record absolu dans la cité girondine, à 41,2°C en 2019.
Samedi, 40°C ont presque été atteints à Cadenet (Vaucluse), avec 39,8°C, ou à Carcassonne (Aude), 39°C, a indiqué l'institut météorologique, qui a aussi relevé dans la nuit de samedi à dimanche des températures aussi étouffantes que 28°C à Menton et 27°C à Nice.
Comme lors de la première vague de chaleur de 2024, survenue fin juillet, le ministère de la Santé a activé son numéro vert "canicule", joignable au 0800.06.66.66.
- Risque incendie -
"On suit ça de très près pour prévenir la population", a déclaré au micro de Franceinfo le ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux, appelant à "s'hydrater, se mettre au frais quand on est une personne âgée, fragile, touchée par une maladie, un enfant, se mettre dans une pièce fraîche quand on peut".
Pour cet "épisode caniculaire non exceptionnel mais assez durable", Météo-France attend lundi un "pic de chaleur" sur le centre et l'est du pays, "avec des températures très élevées au-dessus de 35°C". À Paris, le thermomètre pourra atteindre les 38°C, alors que la chaleur régressera à l'ouest, se décalera vers le nord et le nord-est et se maintiendra dans le Sud-Est.
Autre menace accentuée par la chaleur: la "météo des forêts". Météo-France a placé dimanche en "risque élevé" d'incendie huit départements de la moitié sud de la France, de la Gironde au Var en passant par la Haute-Garonne ou encore le Gard.
vagues de chaleur à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète.
Elles sont appelées à encore se multiplier, s'allonger et s'intensifier, et les relevés français en sont une illustration: on observait avant 1989 "en moyenne une vague de chaleur tous les cinq ans", alors que "depuis 2000 elles se produisent à une fréquence annuelle", selon Météo-France.
Les vagues de chaleur à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète.
Elles sont appelées à encore se multiplier, s'allonger et s'intensifier, et les relevés français en sont une illustration: on observait avant 1989 "en moyenne une vague de chaleur tous les cinq ans", alors que "depuis 2000 elles se produisent à une fréquence annuelle", selon Météo-France