Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
La vague de chaleur en cours depuis vendredi, la deuxième de l'été à toucher la France, s'étend dimanche à presque toute la moitié sud du pays, avec 42 départements placés en vigilance orange canicule par Météo-France.
Taille du texte:
"Dimanche, dans la continuité des jours précédents, la chaleur va encore monter d'un cran dans le Sud", a prévenu samedi le service national de prévisions dans son dernier bulletin.
Le thermomètre devrait ainsi grimper "fréquemment" jusqu'à 40°C, voire les "dépasser" dans l'Hérault, le Var et le sud des départements de l'Ardèche et de la Drôme, relève l'institut.
Des Pyrénées-Atlantiques au Jura, et de la Charente-Maritime aux Alpes-Maritimes, 42 départements de la moitié sud du pays ont été classés en vigilance orange canicule, et cinq autres plus au centre, de la Vendée à la Côte-d'Or, en vigilance jaune.
Cet épisode, qui nécessite "une vigilance particulière notamment pour les personnes sensibles ou exposées", souligne Météo-France, pourrait encore s'intensifier en début de semaine.
Samedi, 42,2°C ont été relevés à Tiranges, en Haute-Loire, et 39°C à Lyon, dans une région où le mercure devrait "légèrement" baisser dimanche d'après le dernier bulletin de prévision.
Après une première vague de chaleur cette année du 19 juin au 4 juillet, c'est la 51ème enregistrée en France depuis 1947.
Selon Météo-France, qui observe "une accélération de la survenue des vagues de chaleur" liée au changement climatique, le pays n'a connu que deux étés sans ce type d'épisode au cours des 16 dernières années.
L'institut a parallèlement classé le Vaucluse en risque "très élevé" pour les incendies dimanche. Dix départements du pourtour méditerranéen et de son arrière-pays, et cinq autres du Centre-Ouest, seront en danger "élevé".
Dans l'Aude, le feu gigantesque qui a parcouru au cours de la semaine 16.000 hectares, dont 13.000 ont brûlé selon la sécurité civile, ne devrait pas être "maîtrisé" avant dimanche soir, en raison de conditions météo "se rapprochant de celles du jour de départ de l'incendie", ont prévenu les pompiers, avec un vent sec et chaud soufflant à 50 km/h sur fond de canicule.
De son côté, la SNCF a supprimé plusieurs allers-retours sur les lignes Intercités Bordeaux-Marseille, Paris-Limoges-Toulouse et Paris-Clermont, craignant des "pannes potentielles de climatisation" sur ses wagons les plus anciens en raison de la hausse des températures.