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Les négociations indirectes sur la poursuite de la trêve dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, en vigueur depuis le 19 janvier, ont débuté mardi à Doha, le mouvement islamiste palestinien disant espérer des "progrès tangibles".
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La situation humanitaire reste dramatique dans le petit territoire dévasté par plus de 15 mois de guerre. Pour faire pression sur le Hamas, Israël bloque pour le 10e jour consécutif l'entrée de l'aide humanitaire et a cessé dimanche la fourniture d'électricité vers la principale usine de dessalement d'eau qui alimente au moins 600.000 personnes.
Et malgré la trêve, l'armée israélienne a poursuivi ses frappes aériennes sur Gaza, qui ont fait au moins cinq morts.
"Nous espérons que les efforts de l'envoyé américain (Steve Witkoff) aboutiront au début des négociations pour la deuxième phase" de cet accord, a-t-il ajouté, soulignant que l'administration américaine, allié historique d'Israël, portait "la responsabilité de son soutien illimité" au gouvernement israélien.
- Désaccords -
M. Shadid a dénoncé le blocage de l'aide qui "a fait flamber les prix de la nourriture et provoqué une pénurie de fournitures médicales, exacerbant la crise humanitaire" en plein ramadan.
L'Egypte, l'Arabie saoudite, le Qatar et la Jordanie ont condamné mardi la coupure de l'électricité à Gaza, exhortant la communauté internationale à prendre des mesures.
L'accord de trêve, arraché par les Etats-Unis, le Qatar et l'Egypte, a abouti à un cessez-le-feu le 19 janvier après 15 mois de guerre provoquée par l'attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.
Cette attaque a entraîné du côté israélien la mort de 1.218 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité parmi les 251 personnes enlevées.
En riposte, Israël a juré d'anéantir le Hamas et lancé une offensive à Gaza qui a fait au moins 48.503 morts, majoritairement des civils, d'après les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Durant la première phase de la trêve, qui a pris fin le 1er mars, le Hamas a rendu 33 otages, dont huit morts, et Israël a libéré environ 1.800 détenus palestiniens.
Les deux délégations tentent, à travers les médiateurs américains et qataris, de surmonter les désaccords portant sur la deuxième phase.
- "Où est la trêve?" -
Celle-ci prévoit, selon le Hamas, un cessez-le-feu permanent, le retrait complet israélien de Gaza et la libération des derniers otages. Israël, de son côté, souhaite une extension de la première phase jusqu'à la mi-avril, et réclame, pour passer à la deuxième, la "démilitarisation totale" du territoire, le départ du Hamas et le retour des derniers otages.
Il reste selon l'armée 58 otages détenus à Gaza, dont 34 ont été déclarés morts.
Si les combats se sont arrêtés à Gaza, l'aviation israélienne mène quasi quotidiennement des frappes sur le territoire.
Quatre hommes, âgés d'une vingtaine d'années et parmi lesquels deux frères, ont été tués dans le sud de la ville de Gaza, selon la Défense civile du territoire.
Les quatre hommes faisaient partie d'un groupe qui se trouvait dans le quartier de Netzarim, a précisé le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.
L'armée israélienne a confirmé avoir visé plusieurs individus se livrant à des "activités suspectes" et qui "représentaient une menace" pour les troupes au sol.
"Où est la trêve dont ils parlent? Ils tuent nos jeunes et parlent d'une trêve!", a lancé Oumm Tariq Obaïd, à l'hôpital Al-Ahli Arab de Gaza-Ville où les corps de membres de sa famille ont été transportés. "Ils n'ont rien fait!"
Une autre frappe aérienne, dans le sud du territoire, a tué un combattant qui "utilisait des appareils de surveillance" des troupes, selon l'armée.
En Israël, les familles et les proches des otages tentent aussi de faire pression sur le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour accélérer la libération des captifs. Plusieurs centaines d'entre eux campent depuis samedi dans des tentes devant le ministère de la Défense à Tel-Aviv.