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Israël a dit jeudi avoir mené une frappe aérienne contre un bâtiment du Jihad islamique palestinien à Damas, l'Observatoire syrien des droits de l'homme faisant état d'une frappe israélienne ayant fait un mort et l'agence de presse officielle syrienne Sana rapportant trois civils blessés.
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"Ce matin, nous avons attaqué un quartier général du Jihad islamique au coeur de Damas", a affirmé le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, dans un message vidéo diffusé par son parti, le Likoud (droite).
"Nous l'avons fait car notre politique est claire: quiconque nous attaque ou prépare une attaque, nous le frappons. Et cela s'applique non seulement à la Syrie mais partout ailleurs, Liban inclus", a-t-il expliqué.
Le Jihad islamique, comme le Hamas, est considéré comme une organisation "terroriste" par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne.
Une trêve fragile est en vigueur depuis le 19 janvier dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas après plus de quinze mois de guerre.
L'armée israélienne a pour sa part indiqué avoir mené une frappe "contre un centre de commandement (...) du groupe terroriste palestinien Jihad islamique à Damas".
"Le centre de commandement était utilisé pour planifier et perpétrer les actions terroristes du Jihad islamique contre l'Etat d'Israël", a-t-elle ajouté.
Selon l'OSDH, l'aviation israélienne a tiré deux missiles contre un bâtiment de ce quartier habité notamment par des dirigeants palestiniens, faisant au moins un mort.
L'agence de presse officielle syrienne Sana a de son côté fait état de "trois blessés, dont une femme âgée grièvement touchée". "Le bâtiment abritait un bureau abandonné depuis la libération de Damas, et toutes les personnes blessées sont des civils", a ajouté le directeur de la sécurité à Damas, Abdel Rahmane al-Dabbagh, cité par Sana.
- Centaines de frappes -
Le représentant du Jihad islamique en Syrie, Ismaïl al-Sindawi, a déclaré à l'AFP que "le bâtiment ciblé est le domicile du chef du mouvement Ziad Nakhalé."
Selon lui, les locaux étaient en réalité "fermés depuis cinq ans et aucune personne du mouvement ne les fréquentait".
Un photographe de l'AFP a vu la façade du bâtiment de trois étages entièrement détruite, et des flammes s'échappant de l'un des balcons. Des ambulances sont arrivées pour évacuer les blessés.
"Partout où une activité terroriste sera menée contre Israël, le leader islamiste radical, al-Jolani, verra les avions de l'armée de l'air le survoler et frapper les cibles terroristes", avait indiqué plus tôt dans un communiqué le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, en référence au président par intérim syrien Ahmad al-Chareh.
Dès la chute du pouvoir de Bachar al-Assad le 8 décembre, Israël a envoyé des troupes dans une zone tampon démilitarisée du Golan, dans le sud-ouest de la Syrie, à la lisière de la partie de ce plateau occupée par Israël depuis la guerre de 1967, et annexée en 1981.
Depuis, Israël a mené des centaines de frappes sur des sites militaires de l'ancien pouvoir en Syrie, affirmant vouloir empêcher que son arsenal ne tombe entre les mains des nouvelles autorités considérées comme es "jihadistes".M
M. Netanyahu, avait exigé le 23 février "la démilitarisation totale du sud de la Syrie" et indiqué que son pays ne tolèrerait pas que les forces du nouveau pouvoir syrien se déploient au sud de Damas.
Le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Cham (HTS) de Ahmad al-Chareh a dirigé la coalition de factions rebelles qui a renversé Bachar al-Assad. HTS a ses racines dans la branche syrienne d'Al-Qaïda et reste désigné comme organisation terroriste par de nombreux gouvernements, dont les Etats-Unis.