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Une caravane de partisans d'Evo Morales a quitté jeudi le centre de la Bolivie en direction de La Paz pour soutenir la candidature de l'ancien président à la présidentielle du 17 août, malgré son inéligibilité et un mandat d'arrêt à son encontre.
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Il n'était pas certain dans l'immédiat si le leader indigène de 65 ans faisait partie de la caravane partie de Parotani, à environ 340 kilomètres à l'est de La Paz, selon un photographe de l'AFP.
Dans un récent entretien à l'AFP, il avait indiqué qu'il se rendrait à La Paz en mai pour présenter sa candidature. "Ce sera une grande caravane (...) le 16 nous nous enregistrerons", avait déclaré celui qui entend briguer un quatrième mandat, après avoir été à la tête du pays entre 2006 et 2019.
Omar Ramirez, un proche de M. Morales, a assuré à l'AFP que celui-ci serait jeudi soir à El Alto, dans la périphérie de La Paz, et qu'il marcherait le lendemain avec ses partisans jusqu'à la grande ville.
La date limite pour l'enregistrement des candidatures à la présidentielle est fixée au 19 mai. Cependant, ce n'est que le 6 juin que l'autorité électorale communiquera la liste définitive des candidats, après avoir vérifié le respect des exigences légales.
Un arrêt de la Cour constitutionnelle rendu en 2023 limite à deux le nombre de mandats présidentiels. Cette décision a été confirmée à plusieurs reprises depuis, la dernière fois mercredi.
Mais Evo Morales ne reconnaît pas cet arrêt et se dit victime d'une "persécution judiciaire" de la part du gouvernement du président Luis Arce, son ancien ministre de l'Economie. Il rejette aussi les accusations de traite de mineure.
Selon le parquet, il aurait entretenu en 2015, alors qu'il dirigeait le pays, une relation avec une adolescente de 15 ans avec le consentement des parents de cette dernière, en échange d'avantages.
Le dirigeant indigène n'est par ailleurs actuellement affilié à aucun parti politique, un requis pour pouvoir présenter sa candidature. Il a quitté en début d'année le parti au pouvoir, le Mouvement vers le socialisme (MAS), après que la justice en a confié la direction à un groupe proche du président Luis Arce.