Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Le gouvernement va "étendre la surveillance à tous les lieux critiques" après des sabotages électriques qui ont provoqué un black-out massif à Cannes samedi, dernier jour du festival de cinéma, et atteint dimanche Nice où doit se tenir début juin une conférence de l'ONU sur les océans, a annoncé mardi François Bayrou.
Taille du texte:
Ces sabotages sont "une mise en cause de l'ordre public extrêmement grave, destinée à impressionner, terrifier ceux qui organisent de tels événements", a ajouté le Premier ministre lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
Il a confirmé que ces sabotages avaient été revendiqués par un groupuscule d'extrême gauche, comme venait de le dire le chef de file des députés UDR Eric Ciotti, allié du Rassemblement national, qui l'interrogeait et a parlé d'actes "revendiqués par un groupuscule d'extrême gauche, d'ultragauche".
François Bayrou a souligné que la situation restait "risquée en raison de la multiplication et de la connaissance que ces groupuscules ont visiblement de l'organisation du réseau".
Le gouvernement va mener "un travail de surveillance", de "renseignement" et de "sécurisation". "Je ne veux pas prétendre devant vous que le risque serait annihilé. Le risque est présent, il est de notre devoir de le prévenir", a-t-il conclu.
Les enquêtes se poursuivaient lundi, après ces sabotages électriques, selon les trois parquets en charge de ces dossiers.
Samedi, la coupure a touché jusqu'à 160.000 foyers dans la région de Cannes, où le festival et sa cérémonie de clôture ont été préservés grâce à un système d'alimentation autonome. Le courant n'a été rétabli qu'aux alentours de 15h20.
La coupure avait été provoquée par l'incendie d'un poste électrique du gestionnaire du réseau RTE à Tanneron (Var) et la chute d'un pylône de ligne à haute tension dont trois des quatre piliers avaient été sciés à Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes).
Selon le parquet de Grasse, les enquêteurs doivent en particulier déterminer la validité d'une revendication publiée dimanche après-midi sur un site alternatif nantais et revendiquant l'attaque au nom de "deux bandes d'anarchistes".
Selon ce communiqué, l'attaque visait à perturber le festival de Cannes mais aussi le site cannois de Thales Alenia Space, qui produit des satellites à usage civil et militaire, plusieurs start-ups et l'aéroport de Nice.
Cette supposée revendication ne visait en revanche pas les faits commis dimanche à Nice, a assuré le procureur de la ville, Damien Martinelli.
Dans la nuit de samedi à dimanche, un incendie volontaire contre un transformateur électrique dans le quartier niçois des Moulins, un secteur gangréné par les trafics de stupéfiants, a privé d'électricité 45.000 foyers pendant quelques heures.