Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Le président français Emmanuel Macron a appelé vendredi à "bâtir de nouvelles alliances" basées sur le droit et à refuser le "deux poids deux mesures", face au règne de la force et des superpuissances, lors du principal forum asiatique de défense et de sécurité à Singapour.
Taille du texte:
"Nous sommes confrontés au défi de pays révisionnistes qui veulent imposer, au nom de sphères d'influence, des sphères de coercition", a-t-il déclaré au forum de défense Shangri-La Dialogue.
Dans ce contexte, "bâtissons une nouvelle alliance positive entre l'Europe et l'Asie, fondée sur nos normes communes, sur nos principes communs", de façon à ne pas être "les victimes collatérales" des "décisions prises par les superpuissances", Etats-Unis ou Chine, a lancé le chef d'Etat français.
M. Macron a également estimé que si les Occidentaux "abandonnent Gaza" et "laissent faire Israël", ils risquent de "perdre toute crédibilité à l'égard du reste du monde".
"C'est pourquoi nous rejetons le deux poids deux mesures", a-t-il martelé, assurant que cela s'appliquait aussi au conflit en Ukraine.
A ce sujet, il a aussi estimé que la Chine devait "empêcher la Corée du Nord" de déployer ses militaires "sur le sol européen", en Ukraine aux côtés de la Russie.
"Si la Chine ne veut pas que l'Otan soit impliquée en Asie du Sud-Est ou en Asie, elle doit empêcher clairement la Corée du Nord d'être impliquée sur le sol européen", a-t-il affirmé.
- "Exigence politique" -
M. Macron a conclu vendredi à Singapour une tournée en Asie du Sud-Est qui l'a conduit au Vietnam et en Indonésie pour promouvoir sa "stratégie indopacifique" visant à proposer une troisième voie entre Washington et Pékin.
Il s'agit de la première fois qu'un dirigeant européen était invité à tenir le discours d'ouverture du Shangri-La Dialogue, dont la 22e édition se tient jusqu'à samedi.
Cette rencontre informelle organisée dans la cité-Etat de Singapour rassemble chaque année des responsables issus de l'ensemble de l'Asie ainsi que du reste du monde.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky en avait été l'un des invités l'an passé et en 2018, lors de son premier mandat, le président américain Donald Trump avait rencontré le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un à cette occasion.
Pour la première fois depuis 2019 cependant, la Chine a annoncé qu'elle n'y enverrait pas de responsable de haut niveau cette année.
Samedi matin, le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, doit s'y exprimer.
Plus tôt vendredi à Singapour, M. Macron avait estimé que la décision ou non de sanctionner la Russie si elle refuse un cessez-le-feu en Ukraine était un "test de crédibilité" pour les Etats-Unis de Donald Trump.
En réponse, le ministère israélien des Affaires étrangères l'a accusé vendredi d'être en "croisade contre l'Etat juif", après qu'il a demandé à la communauté internationale à durcir sa position à l'égard d'Israël si la situation humanitaire à Gaza ne s'améliorait pas.