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L'Organisation mondiale de la santé a déclaré lundi maintenir l'alerte face à l'épidémie de mpox, qui touche principalement l'Afrique, et a appelé à "un soutien international continu".
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Le 9 juin, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, "a annoncé que la flambée du mpox continuait de répondre aux critères d'une urgence de santé publique de portée internationale" (USPPI), selon un communiqué.
L'USPPI était jusqu'à l'an dernier le niveau d'alerte le plus élevé face à une épidémie selon le Règlement sanitaire international (RSI), un cadre juridiquement contraignant pour ses 196 Etats Parties (les 194 États Membres de l'OMS, le Liechtenstein et le Saint-Siège). Mais des amendements adoptés en juin 2024 par les pays de l'Organisation mondiale de la santé ont introduit un plus haut degré d'alerte : celui d'"urgence due à une pandémie".
La décision de maintenir l'alerte face à la recrudescence du mpox fait suite à la quatrième réunion du Comité d'urgence du RSI le 5 juin.
Ce comité, tout en "reconnaissant les progrès réalisés dans la capacité de réponse de certains pays", a informé le directeur général que l'événement continuait de constituer une USPPI, en raison de l'augmentation continue du nombre des cas, y compris récemment en Afrique de l'Ouest, et de "la poursuite probable d'une transmission non détectée dans certains pays au-delà du continent africain", explique l'OMS.
"Les difficultés opérationnelles persistantes" pour répondre à l'épidémie, "y compris en matière de surveillance et de dépistage, ainsi que le manque de financement, font qu'il est difficile de hiérarchiser les interventions et qu'un soutien international continu est nécessaire", poursuit l'organisation.
Le chef de l'OMS avait déclaré cette USPPI le 14 août 2024 face à la propagation fulgurante de la maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, en Afrique et en particulier en République démocratique du Congo (RDC).
L'OMS avait pris la même décision en juillet 2022, lorsqu'une épidémie de mpox s'était étendue à travers le monde, avant de la lever en mai 2023.
- 60% des cas en RDC -
"Depuis le début de 2024, plus de 37.000 cas confirmés de mpox ont été signalés à l'OMS par 25 pays, dont 125 décès", a dit le chef de l'OMS vendredi au comité d'urgence.
Depuis la précédente réunion du comité en février, sept autres pays ont signalé des flambées pour la première fois : Albanie, Ethiopie, Malawi, Macédoine du Nord, Soudan du Sud, Tanzanie et Togo, a relevé M. Tedros.
"Nous avons besoin d'une vaccination stratégique et ciblée. Et nous avons besoin que tous les partenaires et donateurs soutiennent le plan stratégique mondial de préparation et de réponse au mpox, en fournissant les 147 millions de dollars nécessaires", a-t-il demandé.
Le mpox, causé par un virus de la même famille que celui de la variole, se manifeste principalement par une forte fièvre et l'apparition de lésions cutanées, dites vésicules.
Identifiée pour la première fois en RDC en 1970 (alors Zaïre), la maladie est longtemps restée circonscrite à une dizaine de pays africains.
Elle a deux sous-types, clade 1 et clade 2. Le virus, longtemps endémique en Afrique centrale, a traversé les frontières en mai 2022 lorsque le clade 2 s'est propagé à travers le monde, affectant principalement les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.