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Donald Trump a assuré mardi qu'Israël, allié des Etats-Unis, avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-feu de deux mois dans la bande de Gaza et a exhorté le Hamas à l'accepter, au moment où l'armée israélienne étend son offensive dans le territoire palestinien.
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"Israël a accepté les conditions nécessaires pour finaliser le cessez-le-feu de 60 jours, au cours duquel nous travaillerons avec toutes les parties pour mettre fin à la guerre", a écrit le président américain sur sa plateforme Truth Social.
Des habitants de Gaza racontent que les bruits de tirs et d'explosions ne cessent quasiment plus ces derniers jours à travers le territoire palestinien, ravagé par près de 21 mois de guerre entre Israël et le Hamas.
"Nous sommes disposés à accepter toute proposition si celle-ci mène à la fin de la guerre", avait dit à l'AFP un porte-parole du mouvement islamiste, Taher al-Nounou, avant les déclarations de Donald Trump.
Le président américain doit recevoir la semaine prochaine le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington.
Le ministre israélien des Affaires stratégiques Ron Dermer se trouvait mardi dans la capitale américaine pour y rencontrer de hauts responsables à la Maison Blanche.
- "Le danger est partout" -
"J'ai l'impression que l'armée intensifie les massacres sur le terrain dès qu'il est question de négociations ou d'un potentiel cessez-le-feu", témoigne Raafat Halles, un Gazaoui de 39 ans.
Il court régulièrement se mettre à l'abri lorsque des chars israéliens, parfois accompagnés de bulldozers, patrouillent son quartier de Choujaïya, dans l'est de la ville de Gaza. "Nous fuyons dès que les chars approchent et puis nous revenons, car le danger est partout", raconte-t-il.
L'armée israélienne a fait savoir mardi que son aviation avait frappé en 24 heures "plus de 140 cibles terroristes pour appuyer les forces terrestres" et annoncé avoir démantelé dans le sud de Gaza environ 3 kilomètres de tunnels, utilisés selon elle par des combattants du Hamas.
Elle a indiqué avoir ces derniers jours "étendu ses opérations dans de nouveaux secteurs de la bande de Gaza". Ce dont le Comité international de la Croix-Rouge s'est dit "profondément alarmé".
La Défense civile de Gaza a fait état d'au moins 26 morts mardi dans des tirs et des frappes de l'armée israélienne, dont 16 personnes tuées alors qu'elles attendaient pour recevoir de l'aide humanitaire.
Interrogée par l'AFP, l'armée a répondu avoir tiré des coups de semonce pour éloigner des suspects et ne pas avoir connaissance de personnes blessées à la suite de ces tirs.
- Cas de méningite -
Compte tenu des restrictions imposées aux médias dans la bande de Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et les affirmations de la Défense civile.
Près de 170 ONG internationales ont appelé à mettre fin au nouveau système de distribution d'aide, géré depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.
Les autorités sanitaires locales alertent par ailleurs sur une augmentation des cas de méningite chez des enfants, favorisés par des conditions de vie catastrophiques et le manque de moyens des hôpitaux.
La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas sur le sud d'Israël le 7 octobre 2023.
Cette attaque a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne.
Plus de 56.640 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes sur la bande de Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.