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Donald Trump a haussé le ton lundi contre Vladimir Poutine, à l'occasion d'une rencontre en Ecosse avec le Premier ministre britannique Keir Starmer, en donnant "10 ou 12 jours" à son homologue russe pour mettre fin au conflit en Ukraine, sous peine de sévères sanctions.
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Le président américain, qui jusqu'ici ne s'était pas beaucoup étendu sur la catastrophe humanitaire à Gaza, a dit voir des signes d'une "vraie famine", et promis plus d'aide, notamment avec l'ouverture de "centres de distribution alimentaire."
A Vladimir Poutine, il a fixé "une nouvelle date limite d'environ 10 ou 12 jours à partir d'aujourd'hui". "Il n'y a aucune raison d'attendre. Nous ne voyons aucun progrès", a déploré le républicain, qui avait donné le 14 juillet un délai de 50 jours à son homologue russe.
Il a notamment dit envisager des sanctions "secondaires", c'est-à-dire touchant les pays qui achètent des produits russes, par exemple des hydrocarbures, afin d'assécher les revenus de Moscou.
Le milliardaire, s'exprimant sur le perron d'un luxueux complexe de golf que détient sa famille à Turnberry en Ecosse, s'est dit "très déçu" par son homologue russe.
Concernant Gaza, Donald Trump a jugé lundi qu'un cessez-le-feu était "possible" et reconnu que "beaucoup de gens mouraient de faim".
Evoquant des images d'enfants de Gaza vus à la télévision, il a dit: "C'est une réelle famine", en ajoutant: "ce n'est pas possible de simuler ça."
"Nous allons mettre en place des centres alimentaires où les gens pourront entrer librement - sans limites. Nous n'aurons pas de clôtures," a-t-il déclaré aux journalistes en Écosse, où il passe un séjour mi-diplomatique, mi-privé.
Keir Starmer a lui parlé d'une "totale catastrophe" humanitaire à Gaza et ajouté: "Il faut arriver à ce cessez-le-feu".
- Conférence de presse -
Le président américain s'est ensuite lancé dans une interminable conférence de presse, de plus d'une heure.
Il a, en vrac, chanté les louanges de la femme du Premier ministre britannique, vanté la rénovation du golf de Turnberry, qu'il avait racheté en 2014, repris sa diatribe récurrente contre les éoliennes qualifiées de "monstruosités", et contre l'immigration....
Le tout aux côtés d'un Keir Starmer pour l'essentiel silencieux, qui a toutefois pris la parole de temps en temps, par exemple pour défendre le choix au Royaume-Uni d'un "mix" entre énergies renouvelables et sources conventionnelles.
Devant la presse du moins, les deux dirigeants n'ont pas beaucoup parlé de commerce, ce qui devait être un élément essentiel de leur conversation.
Londres bénéficie déjà d'un sort plus favorable que les autres partenaires internationaux, avec des droits de douane généralement limités au plancher de 10%.
L'Union européenne s'est résignée dimanche à un taux de 15%, après une visite de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen à Turnberry.
Mais le gouvernement britannique négocie toujours d'arrache-pied des exemptions durables pour l'acier et l'aluminium.
Ils sont actuellement taxés à 25%, soit deux fois moins que le taux de 50% appliqué au reste du monde, mais l'arrangement annoncé en mai prévoyait qu'ils soient ramenés à zéro.
Malgré les compliments dont il a inondé Keir Starmer, Donald Trump n'a jusqu'ici pas cédé.