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Des manifestations ont débuté dimanche dans plusieurs villes d'Israël pour demander au Premier ministre Benjamin Netanyahu de mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza et obtenir un accord pour la libération des otages qui y sont retenus.
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Un immense drapeau israélien, floqué de portraits de personnes kidnappées, a été déployé à Tel-Aviv sur la "place des otages", devenue emblématique depuis le début de la guerre, déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du Hamas en Israël.
La mobilisation de dimanche survient alors qu'Israël a annoncé se préparer à prendre le contrôle de Gaza-ville et de camps de réfugiés voisins avec pour but affiché de vaincre le mouvement islamiste palestinien et libérer les otages.
Cette annonce a suscité en Israël l'effroi de familles d'otages qui craignent que l'opération entraîne la mort de leurs proches.
- "Sois fort encore un peu" -
Dimanche, premier jour de la semaine en Israël, l'activité était nettement réduite dans les rues de Jérusalem, a-t-on également constaté.
Vers 8H00 (5H00 GMT), des dizaines de manifestants postés devant la résidence du Premier ministre Benjamin Netanyahu demandaient au gouvernement de "mettre fin à la guerre" et "ramener tout le monde", en référence aux otages.
Là aussi ils brandissaient les portraits des personnes enlevées, drapeaux israéliens et bannières jaunes, la couleur symbole des otages.
Le Forum des familles et des disparus, principale association des proches d'otages, mais aussi l'opposition, une partie du monde économique et syndical, ont appelé à une grève de solidarité ce dimanche avec les otages à Gaza.
Dans un nouveau communiqué dimanche, le Forum a assuré que des "centaines de milliers de citoyens israéliens paralyseront le pays aujourd'hui avec une revendication claire": "Ramenez les 50 otages, mettez fin à la guerre".
Le Forum a prévu de nombreuses actions en différents endroits du pays, mais l'épicentre en sera la "place de otages", avec une grande manifestation prévue en fin d'après-midi.
Cette association a par ailleurs annoncé l'établissement lundi d'un campement des familles à la frontière de Gaza.
"Nous sommes contraints d'intensifier notre lutte et de tout faire pour ramener nos êtres chers (...) Si nous ne les ramenons pas maintenant, nous les perdrons à jamais", s'est alarmé le Forum.
"Depuis 22 mois, nous appelons à un accord global, mais nos appels tombent dans des oreilles sourdes et des cœurs endurcis. Le temps presse pour les otages. Seul le peuple pourra ramener les otages à la maison", a-t-il plaidé.
Viki Cohen, mère de l'otage Nimrod Cohen, a lancé sur le réseau X le message: "Bonjour mon enfant, j'espère que tu as accès aux médias quelque part dans les tunnels, et que tu verras comment le peuple d'Israël s'arrête de vivre aujourd'hui pour toi et pour tous les otages. Sois fort, encore un peu. Maman".
- "Aucun trouble à l'ordre public" -
La police israélienne a indiqué se préparer aux manifestations "avec des forces renforcées". "Des milliers de policiers et de soldats des forces de sécurité frontalières seront déployés dans tout le pays et dans différents endroits tout au long de la journée", indique un communique de la police, qui a prévenu qu'elle "ne tolérera aucun trouble à l'ordre public".
Parmi les 251 otages capturés lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023, 49 restent détenus à Gaza, dont 27 décédés, selon l'armée israélienne.
Le Hamas et le Jihad islamique ont diffusé début août trois vidéos montrant deux otages décharnés et affaiblis, qui ont choqué en Israël et suscité une condamnation internationale.
L'attaque du 7-Octobre, qui a déclenché la guerre à Gaza, a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
L'opération israélienne à Gaza y déjà fait 61.897, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.