Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Tel-Aviv pour clore une journée de solidarité avec les otages à Gaza et demander la fin de la guerre, au sujet de laquelle Donald Trump va présider une réunion mercredi à la Maison Blanche.
Taille du texte:
Après bientôt 23 mois d'offensive israélienne dans le territoire palestinien dévasté et en proie à la famine selon l'ONU, les opérations militaires israéliennes ont fait au moins 35 morts mardi selon la Défense civile, organisation de premiers secours dont l'AFP n'est pas en mesure de vérifier les informations compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d'accès sur le terrain.
A travers Israël toute la journée, des manifestants se sont réunis à des carrefours et devant des domiciles de ministres en Israël pour réclamer du gouvernement un accord de trêve à Gaza.
"Ca suffit !", a hurlé Silvia Cunio dans le micro au début d'un grand rassemblement à Tel-Aviv dans la soirée. Ses deux fils, Ariel et David, sont retenus captifs depuis 690 jours dans Gaza. Elle s'exprimait aux côtés des deux compagnes de ses fils, toutes deux ex-otages libérées durant des trêves.
"Le plus important en ce moment, c'est que les otages reviennent le plus vite possible parce que chaque minute compte", a déclaré Carmel Madmon, biologiste de 37 ans.
Le coup d'envoi de la mobilisation, à l'appel du Forum des familles d'otages, a été donné au petit matin à Tel-Aviv, où environ 400 manifestants ont arrêté des voitures, brandissant drapeaux israéliens et photos d'otages, selon un photographe de l'AFP.
Objectif de la journée : afficher un soutien maximal en faveur d'un accord de cessez-le-feu et de libération des otages à Gaza avant une réunion du cabinet de sécurité, cénacle ministériel restreint habilité à prendre des décisions stratégiques.
- "Jour d'après" -
Dans une vidéo diffusée à l'issue de la réunion, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est resté vague sur les intentions du gouvernement alors que, selon plusieurs médias israéliens, la rencontre s'est achevée sans autre décision que celle de reprendre les débats d'ici à la fin de la semaine.
"Je dirai une chose : cela a commencé à Gaza, et cela se terminera à Gaza. Nous ne laisserons pas ces monstres là-bas, nous libérerons tous nos otages, et nous veillerons à ce que Gaza ne représente plus jamais une menace pour Israël", a-t-il dit.
La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sud d'Israël.
Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont encore retenues dans Gaza dont au moins 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Le Hamas détient aussi les restes d'un soldat israélien tombé au combat lors d'une précédente guerre de Gaza, en 2014.
Si la guerre continue de faire rage, Donald Trump présidera mercredi une "grande réunion" à la Maison Blanche où sera discuté "un plan très complet sur le jour d'après", selon son émissaire spécial Steve Witkoff.
Le président américain avait lancé en février l'idée d'une prise de contrôle de la bande de Gaza par les Etats-Unis pour la reconstruire et en faire la "Riviera du Moyen-Orient", une fois vidée de ses habitants.
- "Guerre permanente" -
La semaine dernière, M. Netanyahu a ordonné l'ouverture de négociations pour libérer tous les otages, sans donner plus de détails et sans faire référence à une proposition des médiateurs (Egypte, Etats-Unis, Qatar) acceptée par le Hamas.
Selon des sources palestiniennes, cette proposition prévoit la libération de tous les otages en deux temps au cours d'une trêve de 60 jours, en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël.
Mais M. Netanyahu a donné également son feu vert à une nouvelle offensive militaire pour prendre le contrôle de Gaza-ville, considéré comme l'un des derniers bastions du mouvement islamiste palestinien, ravivant l'inquiétude sur le sort des captifs et les pressions internationales sur une issue au conflit.
Lundi, cinq journalistes, dont trois travaillant pour des médias internationaux, ont été tués dans deux frappes israéliennes sur un bâtiment de l'hôpital Nasser à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.
La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 62.819 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l'autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués.