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Deux Palestiniens ont ouvert lundi le feu sur une station d'autobus à Jérusalem-Est, tuant six personnes, l'une des attaques les plus meurtrières dans la ville depuis le début de la guerre à Gaza, ont indiqué les autorités israéliennes.
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L'attaque s'est déroulée à l'entrée du quartier de Ramot, dans le secteur de la Ville sainte occupé et annexé par Israël. Les deux assaillants ont été tués, a indiqué la police.
"Des terroristes palestiniens ont assassiné six Israéliens, dont Yaakov Pinto, un immigrant récemment arrivé d'Espagne", a déclaré le ministre israélien des Affaires étrangères, Gidéon Saar.
"Sanchez et ses ministres pervers, qui ont justifié le massacre du 7 octobre, ont depuis longtemps choisi de se ranger du côté du Hamas et contre Israël. Quelle honte!", a-t-il accusé, en référence aux mesures annoncées par le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, contre Israël pour "mettre un terme au génocide à Gaza".
Les identités de quatre des victimes, des hommes israéliens ultra-orthodoxes, ont été publiées.
Huit autres personnes ont été blessées selon le Magen David Adom dont cinq grièvement.
"C'était une scène très difficile", a déclaré Fadi Dekaidek, un infirmier, dans un communiqué du Magen David Adom. "Les blessés étaient allongés sur la route et le trottoir près d'un arrêt de bus, certains inconscients".
Présents sur les lieux, "un agent de sécurité et un civil ont immédiatement réagi, ont riposté et neutralisé les assaillants", a indiqué la police dans un communiqué, précisant que "leurs décès ont été confirmés".
Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, s'est rendu sur place après une réunion avec les responsables des services de sécurité.
"Nous sommes en guerre contre le terrorisme sur plusieurs fronts", a-t-il déclaré.
"Cette attaque horrible nous rappelle que nous luttons contre le mal absolu", a de son côté affirmé sur X le président, Isaac Herzog.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l'attaque sans précédent sur le sol israélien le 7 octobre 2023 a déclenché la guerre à Gaza, a salué l'attaque à Jérusalem, sans la revendiquer.
"Cette opération est une réponse naturelle aux crimes de l'occupation et au génocide qu'elle mène contre notre peuple", a-t-il déclaré dans un communiqué.
L'armée israélienne a affirmé que ses forces "étaient à la recherche de suspects" dans la zone de l'attaque et encerclaient des villages palestiniens dans la région de Ramallah, en Cisjordanie occupée.
La France, l'Allemagne et l'Union européenne ont condamné l'attentat.
"La spirale de la violence doit prendre fin. Seule une solution politique permettra le retour de la paix et de la stabilité pour tous dans la région", a affirmé le président français, Emmanuel Macron, dont les relations sont au plus mal avec les autorités israéliennes en raison de sa décision de reconnaître un Etat palestinien.