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Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio démarre dimanche une visite en Israël, après avoir exprimé le soutien inébranlable des Etats-Unis à son allié dans sa guerre contre le Hamas malgré une frappe israélienne au Qatar qui a suscité la réprobation.
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Cette visite a lieu malgré le fait que le président américain Donald Trump se soit montré contrarié par l'attaque israélienne de mardi, qui visait des responsables du mouvement islamiste palestinien au Qatar, autre allié des Etats-Unis.
Ce bombardement sans précédent ciblait des responsables du Hamas réunis dans un complexe résidentiel en plein cœur de Doha, capitale du pays médiateur dans les négociations en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Cette attaque "ne va pas changer la nature de notre relation avec Israël, mais nous allons devoir en parler, (parler) de quel impact cela aura", a déclaré le chef de la diplomatie américaine à des journalistes avant son départ.
Après le début de la guerre à Gaza, déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023, Israël a décimé la direction du mouvement islamiste, jurant de le détruire et de le chasser du territoire palestinien où il avait pris le pouvoir en 2007.
"Les chefs terroristes du Hamas vivant au Qatar se moquent du sort des habitants de Gaza. Ils ont bloqué toutes les tentatives de cessez-le-feu afin de prolonger indéfiniment la guerre", a affirmé M. Netanyahu sur X. "Se débarrasser d'eux permettrait d'éliminer le principal obstacle à la libération de tous nos otages et à la fin de la guerre."
- Netanyahu, un "obstacle" -
Mais pour le Forum des familles d'otages israéliens retenus à Gaza, c'est M. Netanyahu qui représente un "obstacle" à la fin de la guerre.
"Chaque fois qu'un accord est sur le point d'être conclu, Netanyahu le sabote", a-t-il déploré.
Dans la bande de Gaza affamée, assiégée et dévastée par près de deux ans de guerre, l'armée israélienne poursuit son offensive à Gaza-ville, qu'elle présente comme l'un des derniers bastions du Hamas dont elle veut prendre le contrôle.
Elle a affirmé samedi que plus de 250.000 habitants avaient quitté la ville de Gaza depuis l'intensification de ses bombardements.
Le porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal, a fait état de seulement 68.000 personnes ayant réussi à évacuer la ville.
Selon des estimations récentes de l'ONU, environ un million de Palestiniens vivent dans et autour de la ville de Gaza, la plus grande du territoire.
Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties.
Samedi, l'armée israélienne a largué des tracts exhortant les habitants des quartiers ouest de la ville de Gaza à évacuer vers le sud.
- Le Sud "pas sûr non plus" -
Mais de nombreux acteurs humanitaires jugent qu'un nouveau déplacement de la population du nord vers le sud du territoire est impossible et dangereux.
Bakri Diab, qui a fui l'ouest de Gaza-ville vers le sud, affirme que les frappes israéliennes se poursuivent aussi dans cette zone.
"Le Sud n'est pas sûr non plus", dit ce père de quatre enfants âgé de 35 ans.
L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont encore retenues à Gaza dont 25 sont décédées, selon l'armée israélienne.
L'offensive israélienne de représailles a fait au moins 64.756 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l'autorité du Hamas. Elle a aussi dévasté le territoire palestinien et provoqué un désastre humanitaire.
L'ONU a déclaré la famine à Gaza. Israël, qui assiège le territoire, dément.