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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé dimanche que la visite en Israël du secrétaire d'Etat américain Marco Rubio montrait "la force" des liens entre les deux pays, malgré la réprobation américaine après les dernières frappes israéliennes à Doha.
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Dans le même temps dans la bande de Gaza, un flot ininterrompu de familles fuyaient la ville de Gaza, dans le nord, présentée comme l'un des derniers bastions du Hamas palestinien et contre laquelle l'armée israélienne a intensifié son offensive.
Avant une réunion prévue lundi dans son pays et rassemblant des dirigeants arabes et musulmans pour exprimer leur "rejet" des frappes israéliennes, le Premier ministre du Qatar Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani a exhorté la communauté internationale à cesser "le deux poids deux mesures" en sanctionnant Israël.
L'attaque israélienne, qui visait des responsables du Hamas, a été menée contre un complexe résidentiel à Doha, capitale du pays médiateur dans les négociations en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, dévastée par la guerre déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
- "Véritable ami" -
La visite de M. Rubio "montre la force de l'alliance israélo-américaine. Elle est aussi forte, aussi durable que les pierres du Mur des Lamentations", a dit dimanche M. Netanyahu, au cours d'une visite conjointe sur ce site, dans la Vieille ville de Jérusalem, où M. Rubio a prié.
Le Premier ministre israélien a qualifié le chef de la diplomatie américaine de "véritable ami d'Israël", ajoutant que "sous la direction de Trump et Rubio, l'alliance (entre les deux pays) n'a "jamais été aussi forte".
Les principaux entretiens de M. Rubio sont prévus lundi.
M. Netanyahu a affirmé sur X que "se débarrasser" des "chefs terroristes du Hamas vivant au Qatar" permettrait d'éliminer "le principal obstacle à la libération" des otages retenus à Gaza depuis le 7-Octobre.
Mais pour le Forum des familles d'otages israéliens, c'est M. Netanyahu qui représente un "obstacle" à la fin de la guerre. "Chaque fois qu'un accord est sur le point d'être conclu, Netanyahu le sabote".
Dans la bande de Gaza, la Défense civile a fait état d'au moins 38 morts depuis l'aube dimanche dans des frappes israéliennes, tandis que l'armée israélienne a de nouveau ordonné aux habitants de la ville de Gaza d'évacuer vers le sud.
Les autorités israéliennes ont indiqué s'attendre à ce qu'un "million" de personnes fuient Gaza-ville, dans le nord du territoire, en direction du sud.
Mais de nombreux habitants disent redouter n'y trouver aucun refuge, Israël ayant frappé à plusieurs reprises des zones où il avait été demandé aux civils de se rendre.
Des images de l'AFP montrent une file de véhicules et de piétons quittant Gaza-ville en direction du sud, le long d'immeubles en ruines. Parmi eux figuraient un amputé avançant sur des béquilles, un couple avec un nouveau-né et un homme en fauteuil roulant tenant un enfant.
De nombreux acteurs humanitaires jugent qu'un nouveau déplacement de la population du nord vers le sud du territoire est impossible et dangereux.
Mohammed Ghazal, 32 ans, qui a fui le quartier de Choujaiya à Gaza, affirme que les frappes étaient incessantes dans son secteur.
- "Panique" -
"Nous vivons dans un état de panique et de peur extrême. Les bombardements n'ont pas cessé depuis l'aube, les explosions sont intenses et les tirs continus", raconte-t-il à l'AFP.
Bakri Diab, qui a fui l'ouest de Gaza-ville vers le sud, affirme que les frappes israéliennes se poursuivent aussi dans cette zone.
"Le Sud n'est pas sûr non plus", dit ce père de quatre enfants âgé de 35 ans.
L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont encore retenues à Gaza dont 25 sont décédées, selon l'armée israélienne.
L'offensive israélienne de représailles a fait au moins 64.871 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l'autorité du Hamas. Elle a aussi dévasté le territoire palestinien et provoqué un désastre humanitaire.
L'ONU a déclaré la famine à Gaza. Israël, qui assiège le territoire, dément.
Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties.