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Des bombardements israéliens ont visé la ville de Gaza mercredi, selon des témoins, pendant que le Hamas poursuivait l'examen du plan proposé par Donald Trump pour mettre fin à près de deux ans de guerre dans le territoire palestinien.
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Le président américain avait fixé mardi au Hamas un ultimatum de "trois ou quatre jours" pour accepter son plan de paix, que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit accepter.
Une source palestinienne proche du mouvement islamiste a déclaré mercredi à l'AFP qu'"aucune décision finale" n'avait été prise et que le Hamas aurait besoin "de deux ou trois jours" pour donner sa réponse.
Le Hamas "souhaite modifier certaines clauses comme celle sur le désarmement et l'expulsion des cadres" du mouvement hors du territoire, selon cette source.
Elle a ajouté que le Hamas voulait des "garanties internationales" qu'Israël se retirera intégralement de la bande de Gaza et qu'il n'y aura plus d'assassinats "à l'intérieur ou à l'extérieur du territoire".
La proposition de Donald Trump exige que les combattants du Hamas déposent complètement les armes et soient exclus de tout rôle futur au sein du gouvernement, mais prévoit que ceux qui acceptent la "coexistence pacifique" avec Israël bénéficient d'une amnistie.
- "Je ne partirai pas" -
Dans la bande de Gaza, la Défense civile a rapporté qu'au moins six personnes avaient été tuées mercredi dans une frappe israélienne sur une école abritant des déplacés, et sept autres, dont des femmes et des enfants, dans une autre frappe sur une maison, dans les deux cas à Gaza-ville.
Sollicitée par l'AFP, l'armée israélienne a dit se renseigner.
"Les explosions ne s'arrêtent pas", a témoigné Rabah al-Halabi, un homme de 60 ans joint par téléphone à Gaza-ville où il vit sous une tente dans l'enceinte de l'hôpital Al-Chifa.
"Je ne partirai pas, car la situation à Gaza n'est pas différente de celle dans le sud de la bande de Gaza. Toutes les zones sont dangereuses, les bombardements sont omniprésents et les déplacements sont terrifiants et humiliants", a-t-il ajouté.
"Nous attendons la mort, ou peut-être le secours de Dieu et la trêve."
L'armée, qui mène depuis le 16 septembre une importante offensive sur la ville de Gaza, dans le nord du territoire, a annoncé qu'elle fermerait mercredi la dernière route permettant aux habitants du sud de Gaza d'accéder à la partie nord.
- "Deux opinions" au sein du Hamas -
Mardi, Donald Trump avait menacé le Hamas de lui infliger "l'enfer" s'il n'acceptait pas son plan de paix.
Après une rencontre lundi avec le président américain à Washington, M. Netanyahu a assuré soutenir le plan tout en affirmant se réserver le droit de "terminer le travail" par les armes si le Hamas bloquait ou rejetait la proposition.
Mardi, il affirmé que l'armée israélienne resterait "dans la majeure partie de la bande de Gaza".
Une source proche des négociations qui se déroulent à Doha, la capitale du Qatar, a déclaré à l'AFP qu'il existait "deux opinions au sein du Hamas" concernant le plan américain.
"La première soutient l'approbation inconditionnelle, car la priorité est un cessez-le-feu dans le cadre des garanties données par Trump, avec des médiateurs veillant à ce qu'Israël mette en oeuvre le plan", a déclaré cette source.
"La seconde émet de sérieuses réserves concernant des clauses clés, rejetant le désarmement et les expulsions (...) elle privilégie une approbation conditionnelle, assortie de clarifications reflétant les exigences du Hamas et des mouvements de la résistance", a-t-elle ajouté.
"Le Hamas et les mouvements veulent un cessez-le-feu immédiat, mais pas au prix d'un compromis sur les principes nationaux fondamentaux", a-t-elle conclu.
L'attaque menée par le Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre, a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles.
Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque, 47 sont toujours retenues à Gaza dont 25 sont mortes selon l'armée israélienne.
L'offensive israélienne menée en représailles a fait 66.097 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l'ONU.