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Israël a annoncé vendredi avoir expulsé quatre Italiens, les premiers de près de 500 militants de la flottille internationale pour Gaza arrêtés par l'armée israélienne ces deux derniers jours à bord de leurs bateaux en route pour le territoire palestinien.
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"Les procédures sont en cours pour mettre fin à la provocation (de la flottille) et finaliser l'expulsion des participants à cette mascarade", a écrit le ministère israélien des affaires étrangères sur X, après l'interception par Israël vendredi matin du dernier bateau de ce convoi maritime qui voulait percer le blocus israélien de Gaza.
"Quatre citoyens italiens ont été déjà expulsés. Les autres sont en cours d'expulsion," a précisé le ministère, ajoutant qu'Israël tenait "à mettre fin à cette procédure le plus rapidement possible".
Le dernier bateau de la flottille internationale d'aide pour Gaza a été stoppé vendredi matin "à environ 42,5 milles nautiques de Gaza" (80 kilomètres environ) ont indiqué les organisateurs de la flottille sur leurs réseaux sociaux.
Au total ces deux derniers jours, "les forces navales de l'occupation israélienne ont intercepté illégalement nos 42 bateaux - chacun transportant de l'aide humanitaire, des volontaires et la détermination de briser le siège illégal imposé à Gaza", a poursuivi l'organisation.
Dans un communiqué publié vendredi, la police israélienne a indiqué que "plus de 470 participants à la flottille ont été pris en charge par la police militaire, soumis à un contrôle rigoureux et transférés à l'administration pénitentiaire".
- "Acte d'intimidation" -
Des milliers de personnes avaient défilé jeudi pour dénoncer ces interceptions dans plusieurs pays d'Europe et au Mexique. Et vendredi, une grève générale était organisée en Italie par les syndicats en soutien aux Palestiniens et à la flottille.
Elle était partie d'Espagne en septembre dans le but de rompre le blocus imposé par Israël à la bande de Gaza et fournir "une aide humanitaire à une population assiégée confrontée à la famine et au génocide".
L'offensive israélienne dans la bande de Gaza a fait 66.225 morts dans ce territoire palestinien, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l'ONU.
Elle a été déclenchée par l'attaque du 7-Octobre du mouvement islamiste Hamas, qui a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes et la prise d'otages, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles.
Israël avait annoncé jeudi matin que les passagers, tous "sains et saufs", seraient expulsés vers l'Europe.
La Marine israélienne, félicitée publiquement par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, avait commencé à intercepter les bateaux mercredi soir après avoir averti les équipages qu'ils entraient dans des eaux dont Israël revendique le contrôle.
Global Sumud ("résilience", en arabe) a dénoncé "une attaque illégale" survenue dans les eaux internationales, l'organisation des droits humains Amnesty International déplorant un "acte d'intimidation" d'Israël.
Onze participants grecs ont entamé jeudi une grève de la faim pour protester contre leur "détention illégale", selon des organisateurs de la flottille.
Le Hamas a pour sa part qualifié l'interception de "crime de piraterie".
- Manifestations -
En France, en Italie, en Irlande ou en Suisse, des manifestants brandissant des drapeaux palestiniens ont scandé jeudi "Free Palestine" et réclamé la fin de ce qu'ils ont qualifié de "génocide" contre les Palestiniens à Gaza.
Au Mexique, des affrontements entre plus de 10.000 manifestants propalestiniens et forces de l'ordre ont fait le même jour des dizaines de blessés dans les deux camps.
L'Italie et l'Espagne avaient dépêché des navires militaires pour escorter sur une partie du trajet la flottille après des "attaques par drones" dans la nuit du 23 au 24 septembre, dénoncées par l'ONU et l'Union européenne.
En juin et juillet, la marine israélienne avait déjà arraisonné deux voiliers se dirigeant vers Gaza, avec Greta Thunberg et Rima Hassan à leur bord. Toutes deux avaient été débarquées en Israël puis expulsées.