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Deux émissaires du président américain Donald Trump se rendent samedi en Egypte pour finaliser les discussions sur la libération des otages dans la bande de Gaza, a indiqué la Maison Blanche après que le Hamas a dit être prêt à les libérer.
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L'armée israélienne a annoncé dans le même temps poursuivre ses opérations dans le territoire palestinien malgré des appels de M. Trump et des familles d'otages à cesser immédiatement les bombardements.
L'émissaire Steve Witkoff et le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, se rendent en Egypte, pays médiateur dans la guerre à Gaza, pour finaliser les modalités des libérations des otages, a déclaré à l'AFP un responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat.
M. Trump a prévenu samedi le Hamas qu'il ne "tolérerait aucun retard" dans l'application de son plan.
Vendredi, le mouvement islamiste palestinien s'est dit prêt à des négociations immédiates en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre qui ravage depuis près de deux ans la bande de Gaza, dans le cadre de ce plan.
Mais au moins 31 personnes ont été tuées samedi depuis l'aube dans des frappes israéliennes sur le territoire palestinien, selon Mohammed Abou Salmiya, directeur de l'hôpital al-Chifa, dans la ville de Gaza.
- "Intensité des bombardements" -
Selon lui, 26 personnes ont notamment péri dans cette ville du nord du territoire, où les forces israéliennes ont lancé le 16 septembre une offensive majeure poussant des centaines de milliers de personnes à la fuite.
"L'intensité (...) des bombardements israéliens sur Gaza reste inchangée, avec frappes aériennes, tirs d'artillerie et tirs de drones", a déclaré Mohammed al-Moughayyir, de la Défense civile, qui opère sous l'autorité du Hamas.
"Les troupes israéliennes mènent toujours des opérations à Gaza-ville (...) Pour votre sécurité, évitez de retourner dans le nord ou de vous approcher des zones où les troupes sont actives, y compris dans le sud de Gaza", a déclaré Avichay Adraee, un porte-parole de l'armée israélienne.
L'armée, qui contrôle environ 75% de la bande de Gaza, veut s'emparer de Gaza-ville qu'elle présente comme le grand bastion du Hamas.
En Israël, le Forum des familles d'otages a salué la demande américaine de mettre immédiatement fin à la guerre.
A Gaza, des habitants se sont aussi félicités de l'appel du président américain, "le seul capable de forcer Israël à obéir et à mettre fin à la guerre", estime Sami Adas, un quadragénaire vivant sous une tente avec sa famille dans l'ouest de Gaza.
Le plan américain prévoit un cessez-le-feu, la libération dans les 72 heures des otages, le retrait par étapes de l'armée israélienne de Gaza, le désarmement du Hamas et l'exil de ses combattants.
Il prévoit également la mise en place d'une autorité de transition formée de technocrates chapeautée par Donald Trump, et le déploiement d'une force internationale. Il exclut tout rôle du Hamas "dans la gouvernance de Gaza".
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré soutenir le plan Trump annoncé fin septembre, mais il a ensuite affirmé que son armée se maintiendrait dans la majeure partie du territoire palestinien.
Dans son communiqué vendredi, le Hamas s'est dit prêt à libérer tous les otages vivants et à rendre les corps des otages décédés, en échange de prisonniers palestiniens, ainsi qu'à des négociations immédiates sur les "détails" des libérations.
"Afin de mettre fin à la guerre et d'obtenir le retrait (israélien) complet de Gaza, le mouvement annonce son accord pour libérer tous les prisonniers de l'occupation, vivants ou morts, selon la formule d'échange proposée par le président Trump", a-t-il écrit.
- "Toutes les questions" -
Mais le Hamas n'y mentionne pas la question de son désarmement et souligne qu'il participera aux discussions sur l'avenir du territoire.
Samedi, un dirigeant du Hamas a indiqué que le mouvement était prêt à entamer des négociations pour résoudre "toutes les questions".
Les otages ont été enlevés lors de l'attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023, qui a déclenché à la guerre à Gaza. Israël a juré de détruire le mouvement islamiste et lui refuse tout rôle dans l'après-guerre.
L'offensive de représailles israélienne a fait au moins 67.074 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas, fiables selon l'ONU.