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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré samedi qu'il espérait que tous les otages retenus dans la bande de Gaza seraient ramenés chez eux dans "les prochains jours" après que le Hamas a dit être prêt à les libérer.
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L'armée israélienne a annoncé dans le même temps poursuivre ses opérations dans le territoire palestinien malgré l'appel du président américain à cesser immédiatement les bombardements. Au moins 57 personnes ont été tuées samedi dans des bombardements selon un organisme de secours.
Donald Trump a prévenu le Hamas qu'il ne "tolérerait aucun retard" dans l'application de son plan présenté fin septembre et qui vise à mettre fin à la guerre à Gaza et libérer les otages.
- "Le peuple veut la paix" -
L'Egypte, pays médiateur dans le conflit, a annoncé qu'elle recevrait lundi des délégations d'Israël et du Hamas pour discuter des "détails concernant l'échange de tous les détenus israéliens (otages, ndlr) et des prisonniers palestiniens" détenus par Israël.
Al-Qahera News, lié aux services de renseignement égyptiens, a parlé de "négociations indirectes" dimanche et lundi entre les deux parties.
Devaient également arriver en Egypte samedi l'émissaire américain Steve Witkoff et le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, pour finaliser les modalités de la libération des otages, selon la Maison Blanche.
"J’espère que dans les prochains jours à venir nous pourrons ramener tous nos otages (…) pendant la fête de Souccot", a déclaré M. Netanyahu dans un discours télévisé, en référence à une fête juive qui commence lundi et dure jusqu'au lundi suivant.
Les otages ont été enlevés le 7 octobre 2023 lors de l'attaque sans précédent du Hamas en Israël, qui a déclenché la guerre dévastatrice dans la bande de Gaza.
M. Netanyahu a en outre promis de désarmer le Hamas, soit via le plan américain, soit par des moyens militaires.
Vendredi, le Hamas s'est dit prêt à des négociations immédiates en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre dans le cadre de ce plan.
Le président américain a alors appelé Israël à "arrêter immédiatement les bombardements à Gaza, pour que nous puissions faire sortir les otages rapidement et en toute sécurité".
Mais au moins 57 personnes ont été tuées samedi depuis l'aube dans des frappes israéliennes sur le territoire palestinien, selon la Défense civile, opérant sous l'autorité du Hamas.
Dans la ville de Gaza, cible d'une offensive israélienne majeure depuis environ 15 jours, 18 personnes sont mortes lors d'une frappe ayant visé la maison d'une famille, a-t-elle précisé.
Depuis l'appel de M. Trump à cesser immédiatement les bombardements, "Israël a en fait intensifié son offensive", a estimé Mahmoud al-Ghazi, un habitant de Gaza-ville.
L'armée israélienne a indiqué qu'elle menait toujours des opérations à Gaza-ville, exhortant les habitants à s'en éloigner.
Contrôlant environ 75% de la bande de Gaza, l'armée veut s'emparer de Gaza-ville qu'elle présente comme le grand bastion du Hamas.
En Israël, le Forum des familles d'otages a salué la demande américaine de mettre immédiatement fin à la guerre.
Et comme tous les samedis soirs, des manifestations appelant à la libération des otages se sont tenues en Israël, notamment à Jérusalem et Tel-Aviv. "Le peuple veut le paix", pouvait-on lire sur des pancartes.
- Echange de prisonniers -
Le plan américain prévoit un cessez-le-feu, la libération dans les 72 heures des otages, le retrait par étapes de l'armée israélienne de Gaza, le désarmement du Hamas et l'exil de ses combattants.
Il prévoit également la mise en place d'une autorité de transition formée de technocrates chapeautée par Donald Trump, et le déploiement d'une force internationale. Il exclut tout rôle du Hamas "dans la gouvernance de Gaza".
M. Netanyahu a déclaré soutenir le plan Trump mais il a ensuite affirmé que son armée se maintiendrait dans la majeure partie du territoire palestinien.
Dans son communiqué vendredi, le Hamas s'est dit prêt à libérer tous les otages vivants et à rendre les corps des otages décédés, en échange de prisonniers palestiniens, ainsi qu'à des négociations immédiates sur les "détails" des libérations.
Mais le Hamas n'a pas mentionné la question de son désarmement et souligné qu'il participerait aux discussions sur l'avenir du territoire.
Israël a juré de détruire le mouvement islamiste et lui refuse tout rôle dans l'après-guerre.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont toujours otages à Gaza, dont 25 sont mortes selon l'armée.
L'offensive de représailles israélienne a fait au moins 67.074 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas, fiables selon l'ONU.