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Le président américain Donald Trump a évoqué mardi une "réelle chance" pour parvenir à un accord destiné à mettre fin à la guerre à Gaza, le jour où Israël a marqué le deuxième anniversaire de l'attaque la plus meurtrière de son histoire menée par le Hamas.
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M. Trump, qui fait pression pour parvenir à un accord, a indiqué qu'une "équipe" américaine était impliquée dans les pourparlers indirects en cours, à Charm el-Cheikh en Egypte, entre négociateurs israéliens et du mouvement islamiste palestinien Hamas.
"Il y a une réelle chance que nous puissions faire quelque chose" au sujet d'un accord sur Gaza, a déclaré Donald Trump. "Nous voulons que les otages soient libérés immédiatement."
Selon le chef de la diplomatie égyptienne Badr Abdelatty, une délégation dirigée par Steve Witkoff, l'émissaire de Donald Trump, doit arriver mercredi en Egypte.
Signe des efforts intenses pour aboutir à des résultats, le Premier ministre du Qatar Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani et le chef des services de renseignement de Turquie Ibrahim Kalin vont eux aussi rejoindre mercredi les pourparlers.
Le Hamas a affirmé plus tôt qu'il s'efforçait de surmonter "tous les obstacles" susceptibles d'empêcher un accord.
- "Pour être avec elle" -
Dans sa réponse au plan Trump, le mouvement islamiste a accepté de libérer les otages mais réclamé la fin de l'offensive israélienne et le retrait total israélien de Gaza. Il n'a pas mentionné son désarmement, point clé de la proposition.
M. Netanyahu a dit soutenir le plan mais souligné que son armée resterait dans la majeure partie de Gaza et affirmé que le Hamas devrait être désarmé.
A Réïm, sur le site du festival de musique Nova dans le sud d'Israël, où plus de 370 personnes ont été tuées par des commandos du Hamas, des dizaines de proches des victimes ont observé une minute de silence à 06h29 (03h29 GMT), heure précise du début de l'attaque du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.
"Je suis ici pour être avec elle, car c'est la dernière fois qu'elle était en vie, ici avec son fiancé, Moshé", tué lui aussi ce jour-là, a déclaré à l'AFP Orit Baron, 57 ans, mère de Yuval Baron, une des victimes de la tuerie.
Non loin, dans la bande de Gaza voisine, le bruit des tirs d'artillerie et d'explosions se fait entendre, l'armée israélienne y poursuivant son offensive meurtrière lancée il y a deux ans en riposte à l'attaque du 7-Octobre.
A Tel-Aviv, une foule d'Israéliens s'est rassemblée sur l'emblématique "place des Otages", épicentre de la mobilisation pour la libération otages à l'appel des familles des victimes.
"C'est important de venir ici. Aujourd'hui, je peux ressentir l'espoir d'un vrai changement", dit Ana Komha, 47 ans, présente au rassemblement.
- "Ils mentent tous" -
Ils attaquent des bases militaires et tue à l'aveugle sur les routes, dans des kibboutz, des villes et des villages.
Côté israélien, l'attaque a entraîné la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont toujours otages à Gaza dont 25 sont mortes selon l'armée.
Israël a juré de détruire le Hamas et lancé une campagne militaire qui a dévasté le territoire palestinien, provoqué un désastre humanitaire et fait selon le ministère de la Santé du Hamas, plus de 67.160 morts, en majorité des civils. Les chiffres du ministère sont jugés fiables par l'ONU.
Un cadre du Hamas, Fawzi Barhoum, a qualifié mardi l'attaque du 7-Octobre de "réponse historique à l'occupation" israélienne.
Dans la bande de Gaza assiégée, des centaines de milliers de déplacés s'entassent dans des camps de toiles surpeuplés, manquant de tout au milieu des ruines.
L'ONU a déclaré l'état de famine dans une partie de Gaza et ses enquêteurs affirment qu'Israël y commet un génocide. Des affirmations rejetées par Israël.
"Je ne sais pas quand cette guerre va s'arrêter. Mon rêve est qu'elle cesse dès maintenant, pas demain", dit à Gaza Abir Abou Saïd à l'AFP. "Je ne fais plus confiance à personne. Les négociateurs israéliens comme le Hamas, ils mentent tous alors que nous mourons à chaque instant".