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Des émissaires américains ont rejoint mercredi en Egypte les négociations indirectes entre le Hamas et Israël visant à mettre fin à la guerre à Gaza, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi faisant état d'indices "très encourageants".
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Signe des fortes pressions pour aboutir à un accord, le Premier ministre du Qatar Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani ainsi que le chef des services de renseignement turc Ibrahim Kalin ont été aussi dépêchés dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, où se tiennent les discussions.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé que le président américain Donald Trump avait "expressément demandé" à Ankara de convaincre le Hamas de conclure.
Entretemps, l'armée israélienne a poursuivi ses bombardements meurtriers à travers le territoire palestinien, affamé assiégé et dévasté, selon la Défense civile locale.
Alors que Donald Trump a évoqué mardi une "réelle chance" de parvenir à un accord, son émissaire Steve Witkoff et son gendre Jared Kushner sont arrivés à Charm el-Cheikh, pour participer aux négociations, selon des images diffusées par des médias égyptiens.
Un proche conseiller du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Ron Dermer, y est aussi présent, d'après Al-Qahera News.
- "Mandat solide" -
Le plan Trump annoncé le 29 septembre prévoit un cessez-le-feu, un échange des otages enlevés durant l'attaque du 7-Octobre contre des prisonniers palestiniens retenus par Israël, le retrait par étapes de l'armée israélienne de Gaza ainsi que le désarmement du Hamas et l'exil de ses combattants.
Le Hamas et M. Netanyahu ont dit soutenir le plan mais plusieurs points restent en suspens.
"Les médiateurs font de grands efforts pour lever tous les obstacles à la mise en oeuvre des différentes étapes du cessez-le-feu, et un esprit d'optimisme prévaut parmi les participants", a déclaré à l'AFP Taher al-Nounou, un dirigeant du Hamas participant aux discussions.
Il a ajouté que son mouvement avait échangé avec Israël "des listes de prisonniers (palestiniens) à libérer".
Selon une source proche du Hamas, "de premières cartes ont été présentées mardi par la partie israélienne concernant le retrait des troupes".
Mais la veille, le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a déclaré que le mouvement voulait des "garanties" de M. Trump et des médiateurs que la guerre à Gaza "finira une fois pour toutes", disant "ne pas faire confiance" à Israël.
Les émissaires américains sont venus "avec une forte volonté (...) et un mandat solide du président Trump pour mettre fin à la guerre", a indiqué M. Sissi, ajoutant avoir reçu de Charm el-Cheikh des messages "très encourageants".
Dans sa réponse au plan Trump, le Hamas a accepté de libérer les otages mais réclamé la fin de l'offensive israélienne et le retrait total israélien de Gaza. Il n'a pas mentionné son propre désarmement, point clé de la proposition.
M. Netanyahu a dit soutenir le plan mais a souligné que son armée resterait dans la majeure partie de Gaza et répété que le Hamas devait être désarmé.
- "Détruire le Hamas" -
"Je prie seulement pour que notre Premier ministre permette une victoire totale à Gaza, afin de détruire le Hamas, avec l'aide de Dieu, et ramener les otages", a dit M. Ben Gvir, qui est hostile à tout accord avec le mouvement palestinien.
Des mois d'efforts des médiateurs -Qatar, Egypte, Etats-Unis- ont jusqu'à présent échoué à aboutir à un cessez-le-feu durable à Gaza.
Deux précédentes trêves en novembre 2023 et début 2025 avaient permis le retour d'otages ou de corps de captifs en échange de prisonniers palestiniens, avant de s'effondrer.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 sont toujours otages à Gaza dont 25 sont mortes selon l'armée.
En riposte, Israël a lancé une campagne militaire qui a dévasté le territoire palestinien, provoqué un désastre humanitaire et fait selon le ministère de la Santé du Hamas, plus de 67.183 morts, en majorité des civils.
L'ONU a déclaré l'état de famine dans une partie de Gaza et ses enquêteurs affirment qu'Israël y commet un génocide. Des affirmations rejetées par Israël.