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Aussitôt que les médias israéliens ont annoncé que les otages israéliens avaient été remis à la Croix-Rouge, des milliers de personnes réunies sur la place des Otages à Tel-Aviv applaudissent à tout rompre.
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L'armée l'a confirmé, mais les images des captifs ne sont pas encore diffusées sur les télévisions. En attendant, cette marée humaine, au milieu de laquelle flottent des drapeaux israéliens, laisse exploser sa joie.
"On attendait ce moment mais il reste de la tristesse pour ceux qui ne rentrent pas et pour les presque 2.000 morts de la guerre, deux ans de folie qui se terminent... Mais c’est une belle journée, celle qu'on attend depuis deux ans", décrit à l'AFP Ronny Edry, un enseignant de 54 ans.
Ils n'étaient que quelques centaines une heure auparavant, peu après le lever du jour sur Tel-Aviv, à se réunir sur ce lieu emblématique du mouvement pour la libération des otages israéliens retenus dans la bande de Gaza.
Les premières images de libération des personnes encore retenues dans le territoire palestinien doivent être diffusées sur grand écran.
Beaucoup se prennent dans les bras, et déjà l'émotion est palpable. Certains sont venus avec des portraits des otages qui doivent être libérés dans la matinée, d'autres des drapeaux israéliens.
- "Euphorie" -
Noga, qui arbore un autocollant "dernier jour" dit à l'AFP ressentir une sorte d'"euphorie".
Depuis l'attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, au cours de laquelle 251 personnes ont été enlevées par le Hamas et ses alliés, cette jeune femme portait chaque jour sur elle une vignette comptant les jours de leur captivité.
L'ambassadeur de France en Israël, Frédéric Journès, qui avait affiché les visages d'otages franco-israéliens devant l'ambassade, sourit au milieu de la foule, en arborant un tee-shirt "Bring them home" ("ramenez-les à la maison").
Certaines personnes sont là depuis des heures, ne voulant pas rater ces libérations tant attendues et dont l'heure exacte reste inconnue. Dimanche, plusieurs médias israéliens avaient annoncé qu'elles pourraient survenir dans la nuit.
Le Forum des familles, la principale organisation de proches de captifs, avait d'ailleurs organisé sur place une "nuit jaune", de la couleur du ruban associé aux otages en Israël, et qui a envahi l'espace public israélien, des ronds points aux poignées de portes de voitures ou aux guidons de poussettes.
- "Très émue" -
Émilie Moatti, ancienne députée travailliste, une des fondatrices de ce Forum a dit à l’AFP être "très émue" en montrant la foule qui se rassemble, peinant à retenir ses larmes.
Sur des écrans géants, les télévisions israéliennes montrent des images des précédents rassemblements sur ce lieu, devenu au fil des mois le centre névralgique de la mobilisation pour la libération des otages.
La chanson Habayta ("à la maison", en hébreu), en boucle dans les haut-parleurs, résonne différemment à l'heure où Israël attend la libération de 48 otages, dont 20 vivants.
Le titre, datant des années 1980 et s'adressant à l'origine aux soldats israéliens se battant au Liban, a été largement repris dans le pays depuis la prise d'otages massive du 7-Octobre.
Il était entonné sur cette place lors de rassemblements hebdomadaires qui ont parfois réuni des dizaines de milliers de personnes au cours des deux dernières années.
Première étape du plan de cessez-le-feu présenté par Donald Trump, le retour en Israël des 48 otages, vivants ou morts, doit s'accompagner de la libération par Israël de près de 2.000 prisonniers palestiniens.