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Les alliés de Kiev sont déterminés à accroître la pression sur Moscou, a affirmé vendredi le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui a appelé à "achever le travail" sur l'utilisation des avoirs russes gelés afin de financer la défense ukrainienne.
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La "coalition des volontaires", qui rassemble une trentaine de pays essentiellement européens qui soutiennent Kiev, s'est réunie vendredi après-midi.
Ces alliés se sont entendus "sur un plan clair" pour aider l'Ukraine jusqu'à la fin de l'année, a affirmé le dirigeant britannique lors d'une conférence de presse avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sans toutefois annoncer d'engagement concret.
Les alliés de Kiev sont "déterminés" à intensifier la pression sur Vladimir Poutine "du champ de bataille à son économie de guerre", a dit Keir Starmer, qui codirige cette coalition avec le président français Emmanuel Macron.
Les alliés de Kiev doivent s'entendre pour "achever le travail" sur l'utilisation des avoirs russes gelés en réponse à l'invasion de l'Ukraine par Moscou, a dit Keir Starmer.
Le Royaume-Uni est prêt à "agir de concert avec l'Union européenne pour faire avancer cela aussi rapidement que possible, afin que ces fonds soient acheminés vers l'Ukraine", a-t-il ajouté.
Débloquer ces avoirs permettrait notamment de financer la fourniture de "systèmes de longue portée" .
A ce sujet, le leader travailliste a appelé les alliés à "en faire plus" pour renforcer les moyens d'action longue portée de l'Ukraine.
La réunion de la "coalition des volontaires" à Londres s'est tenue en mode hybride: la Première ministre danoise Mette Frederiksen, son homologue néerlandais Dick Schoof et le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte étaient présents. Une vingtaine d'autres dirigeants - dont le président français Emmanuel Macron - étaient en visioconférence.
- Audience avec le roi -
Le président ukrainien avait d'abord été reçu en audience par le roi Charles III - leur troisième rencontre au Royaume-Uni depuis le début de l'année.
L'Ukraine a été ces dernières semaines la cible d'attaques russes redoublées sur ses infrastructures énergétiques, qui menacent de priver sa population d'électricité et de chauffage.
L'Ukraine produit certains missiles de type longue portée (Flamingo, Neptune) et reçoit des Européens des missiles de croisière Scalp français et Storm Shadow britanniques, mais en petites quantités.
Elle a réclamé, sans succès, des missiles de croisière allemands Taurus. Et les Américains ont refusé jusqu'ici de livrer les missiles de croisière longue portée Tomahawk que M. Zelensky espérait.
Le président russe Vladimir Poutine a averti qu'une telle livraison constituerait "une nouvelle escalade".
Sur l'utilisation des avoirs russes, les dirigeants européens réunis jeudi à Bruxelles ont effectué un premier pas timide, en demandant à la Commission d'explorer les moyens de financer l'Ukraine sur les deux années à venir, laissant la porte ouverte à la mise en place d'un prêt qui s'appuierait sur ces avoirs.
Immobilisés du fait de sanctions occidentales, ces avoirs représentent quelque 210 milliards d'euros.
Cette proposition sera au menu du sommet européen de décembre, repoussant de facto les arbitrages les plus difficiles. Elle est formulée en termes vagues en raison des réserves de la Belgique, pays où se trouve l'essentiel des fonds.
La saisie pure et simple de ces avoirs est exclue à ce stade par les pays de l'UE pour ne pas fragiliser leur place financière, mais la Commission européenne propose un mécanisme permettant d'en utiliser la garantie pour financer un prêt de 140 milliards d'euros à Kiev.
Présent à Bruxelles jeudi, Volodymyr Zelensky avait exhorté les dirigeants à sauter le pas. Dans la soirée, il s'est montré optimiste sur ce thème en saluant les "bons résultats" du sommet.
- Sanctions -
Keir Starmer a salué les "énormes progrès" réalisés cette semaine pour cibler les hydrocarbures russes, après la décision des Etats-Unis de prendre à leur tour des sanctions contre ce secteur.
Le président Donald Trump s'était refusé longtemps à prendre de telles mesures, mais a estimé cette semaine que ses conversations avec son homologue russe ne menaient "nulle part".
Ces sanctions impliquent un gel de tous les actifs des géants pétroliers Rosneft et Lukoil aux Etats-Unis, et une interdiction à toutes les entreprises américaines de faire affaire avec eux.