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Israël a annoncé mercredi cesser ses bombardements sur Gaza après des frappes ayant fait des dizaines de morts, menées en riposte à la mort d'un de ses soldats, des violences qui témoignent de la fragilité du cessez-le-feu avec le Hamas.
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Selon la Défense civile à Gaza, les frappes israéliennes lancées mardi soir et ayant duré toute la nuit, ont fait 104 morts dont 46 enfants dans le territoire palestinien, les bombardements les plus meurtriers depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu le 10 octobre.
Se voulant rassurants, les médiateurs qatari et américain ont aussitôt souligné que le cessez-le-feu tenait malgré tout, alors que l'ONU a qualifié d'"épouvantable" le bilan des morts.
Ces violences ont ravivé chez les habitants la peur d'une reprise de la guerre, déclenchée après une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
"Nous sommes épuisés", a réagi Jalal Abbas, 40 ans, installé sous une tente à Deir el-Balah (centre). "Le retour de la guerre est ce que nous craignons le plus".
L'armée israélienne a annoncé mercredi matin un retour au cessez-le-feu, affirmant avoir mené des frappes contre "des dizaines" de cibles et visé 30 chefs de mouvements armés palestiniens opérant dans le territoire.
- "Aucune immunité" -
Le président américain Donald Trump a assuré que "rien" ne compromettrait l'accord de cessez-le-feu qu'il a parrainé entre Israël et le Hamas. "Ils ont tué un soldat israélien. Donc les Israéliens ripostent. Et ils devraient riposter", a-t-il dit.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a affirmé qu'il n'y aurait "aucune immunité pour quiconque dans la direction de l'organisation terroriste Hamas - ni pour ceux en costume ni pour ceux cachés dans les tunnels" creusés à Gaza.
Il a précisé que les frappes étaient une riposte à "l'attaque contre des soldats" israéliens et à "la violation flagrante de l'accord prévoyant la restitution" des dépouilles d'otages.
Selon une source militaire, des tirs "ennemis" ont provoqué la mort d'un soldat dans la région de Rafah (sud), où l'armée opère pour démanteler les infrastructures et tunnels du Hamas dan le secteur de la "ligne jaune".
Cette ligne délimite la zone au-delà de laquelle s'est retirée, dans le cadre du cessez-le-feu, l'armée israélienne, qui dit contrôler désormais environ la moitié du territoire.
- "Complexe" -
Le Hamas, qui a pris le pouvoir par la force à Gaza en 2007, a démenti avoir attaqué les troupes israéliennes.
Il a annoncé le report de la remise, initialement prévue mardi soir, d'une nouvelle dépouille d'otage. Le mouvement avait annoncé avoir retrouvé deux corps d'otages, sans préciser quand il comptait les restituer.
En vertu de la première phase de l'accord de cessez-le-feu, le Hamas a libéré le 13 octobre l'ensemble des 20 otages vivants qu'il retenait à Gaza depuis son attaque contre Israël le 7 octobre 2023. Il devait aussi rendre à cette date les 28 derniers corps mais n'en a restitué que 15 jusque-là.
Le mouvement assure que les localiser est "complexe et difficile" dans le territoire en ruines.
Les représentants du Comité international de la Croix-Rouge se sont vu interdire mercredi de rendre visite aux prisonniers palestiniens détenus en Israël, en vertu d'un décret de M. Katz évoquant "la sécurité nationale".
L'attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.221 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP à partir de chiffres officiels.
L'offensive israélienne menée en représailles a fait 68.531 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les chiffres du ministère de la Santé du Hamas.