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La ministre de l'Agriculture Annie Genevard a annoncé dimanche se rendre lundi dans le Sud-Ouest pour assister "au début de la vaccination" de troupeaux bovins face à la colère persistante d'une partie du monde agricole qui conteste la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) par les autorités.
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"C'est un défi que nous allons relever avec les éleveurs : vacciner dans les temps les plus rapides possible 1 million de bêtes parce que c'est le chemin pour lutter contre la maladie. Et c'est très important cette vaccination. Je vais demain, comme je l'ai fait d'ailleurs en Savoie, en Haute-Savoie, dans le Jura, je vais assister aux débuts de la vaccination sur ce territoire. Je vais m'y rendre parce que c'est un chemin d'espoir pour empêcher l'abattage des troupeaux", a déclaré la ministre dimanche au micro d'Europe 1.
"Le Sud-Ouest du réseau reste très fortement perturbé entre Toulouse et Bayonne", indique Vinci autoroutes dans son dernier point.
L'A64 est notamment fermée entre les échangeurs 3 et 17, avec des éleveurs sur les voies au Pays basque ou à Carbonne, point de départ de la grogne agricole de janvier 2024, au sud-ouest de Toulouse. Des perturbations sont aussi recensées sur l'A75 et des nationales. En Gironde, un convoi doit partir dimanche matin du sud de Bordeaux en direction de la métropole.
"Le barrage est en place, l'autoroute est jonchée de détritus, les remorques sont pleines de tout ce qui peut brûler", a déclaré par téléphone à l'AFP le coprésident de la Coordination rurale des Pyrénées-Atlantiques, Léon Thierry, sur l'A64 entre Briscous et Urt, au Pays basque. Samedi soir, "il y avait 400/500 personnes, les tracteurs arrivent, on n'est pas prêts de lâcher".
Dans la vallée du Rhône, un barrage au nord de Montélimar a en revanche été levé un peu avant 01H00 du matin, selon Louis Petiton Saint Mard, coprésident de la Coordination rurale 26.
Depuis l'apparition en juin en France de cette maladie très contagieuse pour les bovins, la stratégie mise en place par l'Etat implique l'abattage de toutes les bêtes des foyers affectés, des restrictions de mouvements des troupeaux et jusqu'ici une "vaccination d'urgence" des cheptels dans un rayon de 50 km autour de la zone concernée.
Un million de bêtes supplémentaires vont être vaccinées dans les huit départements du Sud-Ouest placés en zone réglementée, en plus du million déjà vaccinées pour un coût de 20 millions d'euros, selon le ministère.