En utilisant ce site web, vous acceptez que nous utilisions des cookies. Vous pouvez en savoir plus dans la politique de confidentialité.
La Quotidienne de Bruxelles - La police d'Ottawa menace par tract les manifestants d'arrestation
-
-
Choisir une langue
Fermeture automatique en : 3
Wie gewohnt mit Werbung lesen
Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
La police d'Ottawa a averti mercredi par tract les camionneurs qui paralysent toujours le centre-ville d'Ottawa qu'ils risquaient d'"être arrêtés" s'ils poursuivaient leur mouvement de contestation contre les mesures sanitaires, qui dure depuis 20 jours.
Taille du texte:
"Vous devez quitter les lieux maintenant. Quiconque bloquant les voies de circulation, ou aidant d'autres à le faire, commet une infraction criminelle ou peut être arrêté", est-il écrit sur ce document que des policiers ont distribué aux contestataires.
"Nous n'allons pas utiliser la force", a déclaré aux journalistes mercredi le Premier ministre Justin Trudeau. "On a maintenant donné plus d'outils aux forces de l'ordre, à la police locale... ", a-t-il ajouté, estimant qu'il était "temps que cela finisse".
Des centaines de camions sont toujours stationnés dans les rues du centre-ville de la capitale fédérale. Jan Grouin, 42 ans, camionneur présent depuis le début du mouvement, regrette que Justin Trudeau ne vienne pas leur parler. Etre délogé cette semaine "serait une surprise", avance-t-il.
Le même jour, le chef de la police d'Ottawa Peter Sloly, vivement critiqué pour sa gestion de la crise, avait démissionné.
A Emerson, au Manitoba, dernier blocage d'un axe frontalier en place, la police a estimé mercredi que le passage vers les Etats-Unis serait rouvert dans "quelques heures".
Devant cette crise nationale, le Premier ministre Justin Trudeau a invoqué lundi le recours à la loi sur les mesures d'urgence, une disposition qui permet d'avoir recours à des "mesures extraordinaires".
C'est seulement la deuxième fois que cette disposition est utilisée en temps de paix, la dernière fois remontant à la crise de 1970 quand Pierre Elliott Trudeau, le père de l'actuel Premier ministre, était au pouvoir.
Minimisé au départ par les autorités, le mouvement de contestation canadien qui a débuté fin janvier est parti de camionneurs protestant contre l'obligation d'être vacciné pour passer la frontière entre le Canada et les Etats-Unis.
Mais les revendications se sont étendues à un refus de l'ensemble des mesures sanitaires et, pour de nombreux manifestants, à un rejet du gouvernement de Justin Trudeau.