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Le ministre de la Santé François Braun s'est montré samedi réservé sur une loi sur "l'aide à active à mourir", comme l'a recommandé la Convention sur la fin de vie, estimant que la priorité devra aller "au renforcement de l'existant".
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"Le débat sur l’aide active à mourir est encore ouvert. Un texte de loi allant en ce sens changerait profondément notre société et notre rapport à la mort", estime le ministre, qui s'exprime pour la première fois sur le sujet dans Le Monde.
"Si la société devait avancer dans le sens d’une aide active à mourir, ce ne pourrait être que dans des cas très précis et qui devraient être rigoureusement encadrés", juge-t-il alors qu'Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi sur la fin de vie "d'ici la fin de l'été".
La législation actuelle, fixée par la loi Claeys-Leonetti de 2016, permet aux soignants de mettre sous sédation irréversible des patients proches de la mort, dont les souffrances sont intolérables.
Mais elle ne va pas jusqu'à autoriser une assistance au suicide (le patient s'administre lui-même le produit létal) ou l'euthanasie (un soignant l'injecte).
Selon M. Braun, même en modifiant la loi, "on ne répondra jamais à toutes les situations". C'est "à chaque fois la fin d'+une+ vie et chaque situation est différente".
"Quelle que soit l’option que nous mettrons sur la table, la priorité devra être donnée au renforcement de l’existant. Par une plus grande appropriation des directives anticipées, par des professionnels de santé mieux formés, par un meilleur recours à la sédation profonde et continue jusqu’au décès: ce sont des outils que nous renforcerons en soutenant les soins palliatifs", promet-il.
Le ministre se dit "persuadé que si nous y arrivons, il y aura alors beaucoup moins de demandes d’aide à mourir".
Si la législation devait évoluer vers une aide active à mourir, alors François Braun "ne veut pas qu'elle puisse s'imposer comme une obligation aux médecins" et "ne croit pas qu'elle doive se faire nécessairement dans un environnement médical".