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L'extase ou la chute: le PSG veut vivre une soirée magique et décrocher sa première étoile en Ligue des champions samedi en finale contre l'Inter Milan à Munich (21h00), 32 ans après le seul triomphe d'un club français.
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En 1993, l'OM avait remporté la C1, déjà contre une équipe milanaise, l'AC Milan, et le football français connaît depuis une longue attente pour un successeur. Après de nombreuses déconvenues depuis le rachat du club par Qatar Sports Investments en 2011, le PSG a l'occasion d'enfin saisir son Graal.
La capitale et la région parisienne sont en ébullition avec la retransmission du match au Parc des Princes, dans plusieurs fan zones, dans de très nombreux bars, le tout surveillé par 5.400 policiers et gendarmes.
Paris espère fêter ses héros dimanche lors d'une parade sur les Champs-Elysées en cas de victoire. La Tour Eiffel s'illuminera à chaque but parisien et le Parc des Princes sera rempli de supporters devant d'immenses écrans.
D'ailleurs, l'attaquant Ousmane Dembélé a confié vendredi ressentir "toute l'excitation du peuple parisien". Parmi les supporters, 18.000 chanceux arpenteront les rues de Munich avant de se rendre au stade.
- "Ecrire l'histoire" -
"Ma plus grande motivation c'est de marquer l'histoire de ce club, donner une joie à une ville, un pays. Être les premiers a un côté exceptionnel", a appuyé vendredi Luis Enrique, qui peut remporter la Ligue des champions dix ans après l'avoir fait avec le Barça.
L'entraîneur a relaté avoir tenté "de transmettre aux joueurs la belle opportunité qu'est de jouer une finale de Ligue des champions, et la possibilité d'écrire l'histoire". "On essaie de gérer pour ne pas que cela nous dépasse. Je pense qu'on est prêts", a assuré l'Espagnol.
Le coach s'est attaché depuis son arrivée en 2023 à faire grandir et aguerrir un groupe jeune, privé de surcroît de sa star Kylian Mbappé, partie l'été dernier au Real Madrid.
Ce nouveau projet sans strass ni paillettes a dépassé toutes les attentes, notamment du président du club Nasser Al-Khelaïfi qui n'osait plus clamer les ambitions de victoire finale après 14 ans de désillusions et de frustrations.
Mais après une saison en montagnes russes, le PSG a franchi une à une les étapes pour se hisser jusqu'en finale, la deuxième de son histoire après celle de 2020, perdue 1-0 contre le Bayern Munich sans supporters, en temps de pandémie. Au fur et à mesure de la saison mais surtout depuis le match face à Manchester City en janvier, les Parisiens ont haussé leur niveau face à des adversaires compliqués (Liverpool, Aston Villa, Arsenal).
"Le parcours a été très difficile dès le début. Le fait que cela ait été dur est un avantage pour nous. Au fil de la Ligue des champions, on a joué des finales anticipées tout le temps", a souligné le coach, qui s'est appuyé sur un panel de joueurs expérimentés (Ousmane Dembélé, Marquinhos, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi) encadrant des jeunes talents qui ont très vite grandi (Désiré Doué, Bradley Barcola, Joao Neves, Willian Pacho, Nuno Mendes).
- "L'Inter mérite sa place" -
Pour terminer en apothéose cette saison débutée par des doutes, avant le grand réveil de l'hiver, Paris va se frotter à un redoutable Inter Milan, fort de joueurs d'expériences qui ont pour la majorité vécu la défaite en finale contre City en 2023.
Paris va devoir gérer le système à deux attaquants adverses, avec Lautaro Martinez et Marcus Thuram. Pas de panique, selon le capitaine du PSG Marquinhos: "On travaille beaucoup les changements de schéma de l'adversaire, à l'entraînement on se met en difficulté sur comment on doit s'adapter, si l'équipe en face vient à un, deux ou trois" attaquants.
En face, l'Inter aussi "mérite sa place". "On a fait un gros parcours", notamment en éliminant le Barça à l'issue d'une demi-finale exceptionnelle (3-3, 4-3 a.p.), a dit l'entraîneur Simone Inzaghi, qui pourra compter sur le champion du monde français Benjamin Pavard en défense centrale.