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Le président américain Donald Trump se rend vendredi au Texas meurtri par des inondations qui ont causé la mort de 120 personnes, au moment où la réponse du gouvernement et des autorités locales est pointée du doigt.
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Le président et son épouse Melania sont attendus sur place une semaine tout juste après la catastrophe qui a fait aussi plus de 170 disparus.
Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.
La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l'impact des coupes budgétaires, voulues par l'administration Trump, sur les systèmes d'alerte et de secours.
Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s'il avait toujours l'intention de supprimer progressivement l'Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n'était pas le moment d'en parler.
Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu'en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des États, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral.
"Les moyens du ministère de la Sécurité intérieure (...) se sont engagés dans une action sans précédent aux côtés des secours texans", a insisté jeudi sur son compte X la ministre, Kristi Noem.
"La réponse immédiate à la catastrophe a été rapide et efficace", a-t-elle ajouté, alors que la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses.
- "Chronologie" -
La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.
Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des "prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu".
Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté "autour de 4 ou 5 heures du matin" par des appels aux services de secours.
Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l'envoi d'alertes "code rouge", un message d'urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.
Or d'après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d'attendre, le temps d'obtenir l'autorisation d'un supérieur.
Les alertes "code rouge" auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6h du matin, et le message a mis jusqu'à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.
Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes.
La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l'inondation, selon les autorités.