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L'ex-présidente argentine Cristina Kirchner, qui a vu sa condamnation à six ans de prison confirmée mardi par la justice, a formellement sollicité de pouvoir exécuter sa peine en assignation à domicile, mais saisira la justice internationale, ont indiqué mercredi ses avocats.
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"Nous avons demandé l'assignation à résidence, qui est accordée aux personnes de plus de 70 ans", a déclaré son avocat Carlos Belardi à des journalistes devant le domicile de Mme Kirchner à Buenos Aires, précisant que la demande avait été formellement déposée dès mardi soir.
"Son âge, 72 ans, sa qualité d'ex-présidente, le fait qu'elle ait une protection policière permanente" justifient une détention à domicile, a argumenté l'avocat. Et un bracelet électronique pour la surveiller du coup "n'aurait aucun sens", a-t-il ajouté.
"Cette condamnation est le fruit d'un processus vicié, visant d'emblée un objectif politique : bannir la femme qui a remporté le plus de victoires électorales depuis le retour de la démocratie", a justifié M. Dalbon sur son compte X. "C'est un cas emblématique de détention sélective et de criminalisation".
Carlos Belardi a pour sa part indiqué que la Commission interaméricaine des droits de l'Homme serait également saisie du jugement contre Mme Kirchner. Une saisine pour laquelle il n'a pas donné d'échéance, mais sans effet suspensif sur la sentence, a-t-il précisé.
Mardi, la Cour suprême a confirmé la condamnation de l'ex-présidente (2007-2015) à une peine de six ans de prison et d'inéligibilité à vie pour fraude pendant sa présidence, un jugement retentissant contre une figure dominante de la politique argentine depuis vingt ans.
La Cour examinait son recours après une condamnation fin 2022 pour "fraude au préjudice de l'administration publique" durant sa présidence, un jugement confirmé en deuxième instance en 2024.
Cristina Kirchner a un délai de cinq jours (ouvrables) pour se présenter au tribunal, qui dans cet intervalle doit statuer sur les modalités et le lieu de détention sur la base de la demande des avocats, a précisé Me Belardi.