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La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Washington et Israël, a affirmé qu'au moins cinq de ses employés palestiniens avaient été tués mercredi soir dans une attaque du Hamas, après un nouvel épisode meurtrier en marge de ses opérations.
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Le territoire palestinien traverse une grave crise humanitaire après 20 mois d'une guerre dévastatrice entre Israël et le Hamas, déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023 sur le sol israélien.
Mercredi, la Défense civile de Gaza a annoncé que les forces israéliennes avaient ouvert le feu sur des Palestiniens allant chercher de l'aide humanitaire dans un centre de la GHF, faisant 31 morts et environ 200 blessés.
Quelques heures plus tard, la GHF a dénoncé une "attaque odieuse et délibérée" visant ses activités.
"Vers 22H00 locales (19H00 GMT), un bus transportant plus d'une vingtaine de membres de l'équipe de GHF (...) a été violemment attaqué par le Hamas", a déclaré l'organisation dans un communiqué, précisant que les passagers étaient tous palestiniens.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a accusé le Hamas de "meurtre de sang-froid". "Le Hamas instrumentalise la souffrance à Gaza: il prive la population de nourriture, prend pour cible ceux qui aident à sauver des vies et abandonne son propre peuple", a-t-il dit sur X.
La GHF, une organisation au financement opaque, soutenue par les Etats-Unis et Israël, est déployée depuis fin mai dans le territoire palestinien assiégé par l'armée israélienne depuis octobre 2023. L'ONU refuse de travailler avec cette organisation faute de garanties sur sa neutralité.
- Tir de drone meurtrier -
Nombre des distributions de la GHF ont donné lieu à des scènes meurtrières près de ses sites.
L'hôpital Al-Awda du camp de Nousseirat (centre) a encore fait état tôt jeudi de quatre Palestiniens tués et 100 blessés lors d'une attaque par un drone israélien sur un rassemblement près d'un centre de l'organisation.
Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain en guerre, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations en provenance du territoire, notamment les bilans des morts palestiniens.
L'armée israélienne a intensifié le 17 mai son offensive à Gaza, dans le but affiché de libérer les derniers otages du 7-Octobre, prendre le contrôle de l'ensemble du petit territoire coincé entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée, et anéantir le Hamas qui y a pris le pouvoir en 2007.
Alors que le gouvernement de Benjamin Netanyahu, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, risquait de chuter, le Parlement a rejeté jeudi d'une courte majorité un projet de loi de l'opposition visant à sa dissolution.
- Réunion de l'Assemblée générale de l'ONU -
M. Netanyahu fait cependant face à une pression internationale accrue pour mettre fin à la guerre à Gaza et rouvrir les vannes humanitaires dans le territoire, où les quelque 2,4 millions d'habitants sont menacés de famine selon l'ONU.
Disant vouloir "briser le blocus israélien", 12 militants dont la Suédoise Greta Thunberg ont tenté d'approcher Gaza, mais leur voilier a été intercepté lundi par la marine israélienne.
Quatre militants français pro-palestiniens encore retenus en Israël, dont l'eurodéputée de gauche radicale Rima Hassan, doivent être expulsés jeudi soir et vendredi, selon la diplomatie française
Greta Thunberg a été expulsée vers la Suède. Quatre autres militants - une Allemande, un Turc, un Néerlandais et un Brésilien- restent maintenus dans un centre de détention à Ramla, près de l'aéroport de Tel-Aviv, selon l'ONG israélienne Adalah.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles.
Le gouvernement israélien a annoncé mercredi avoir récupéré à Gaza les dépouilles de deux otages enlevés ce jour là. Avant cette annonce, les autorités israéliennes recensaient 54 personnes toujours retenues dans le territoire palestinien, dont au moins 32 mortes, sur un total de 251 enlevées le 7-Octobre.
Plus de 55.104 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans l'offensive israélienne de représailles à Gaza, selon les dernières données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Après le veto américain ayant empêché le Conseil de sécurité de réclamer un cessez-le-feu à Gaza, l'Assemblée générale de l'ONU va discuter jeudi d'un projet de résolution non contraignante exigeant "un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent" à Gaza ainsi que la libération des otages.