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L'armée israélienne a annoncé mardi avoir étendu son offensive dans la bande de Gaza, où ses opérations ont fait 20 morts, selon les secours palestiniens, à quelques jours d'une rencontre entre Benjamin Netanyahu et Donald Trump.
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Des habitants de Gaza racontent que les bruits de tirs et d'explosions ne cessent quasiment plus ces derniers jours à travers le territoire palestinien, ravagé par près de 21 mois de guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas.
Raafat Halles court régulièrement se mettre à l'abri lorsque des chars israéliens, parfois accompagnés de bulldozers, patrouillent son quartier de Choujaïya, dans l'est de la ville de Gaza.
L'armée israélienne a fait savoir mardi que son aviation avait frappé en 24 heures "plus de 140 cibles terroristes pour appuyer les forces terrestres" et annoncé avoir démantelé dans le sud de Gaza environ trois kilomètres de tunnels, utilisés selon elle par des combattants du Hamas.
Elle a indiqué avoir ces derniers jours "étendu ses opérations dans de nouveaux secteurs de la bande de Gaza". Ce dont le Comité international de la Croix-Rouge s'est dit "profondément alarmé".
- "Ca suffit"-
La Défense civile de Gaza a fait état d'au moins 20 morts mardi dans des tirs et des frappes de l'armée israélienne, dont dix personnes tuées alors qu'elles attendaient pour recevoir de l'aide humanitaire.
Interrogée par l'AFP, l'armée a répondu avoir tiré des coups de semonce pour éloigner des suspects et ne pas avoir connaissance de personnes blessées à la suite de ces tirs.
Compte tenu des restrictions imposées aux médias dans la bande de Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et les affirmations de la Défense civile.
Près de 170 ONG internationales ont appelé à mettre fin au nouveau système de distribution d'aide, géré depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.
Les autorités sanitaires locales alertent par ailleurs sur une augmentation des cas de méningite chez des enfants, favorisés par des conditions de vie catastrophiques et le manque de moyens des hôpitaux.
"Nous sommes fatigués. Nous voulons que cette guerre et ces effusions de sang cessent (...) Ca suffit", lance au milieu des destructions, dans le centre de Gaza, Mossaab al-Aimawi, qui dit avoir perdu des proches la veille dans une frappe nocturne.
- "Tirer parti du succès" -
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a confirmé mardi qu'il se rendrait à Washington la semaine prochaine, pour la troisième fois depuis l'investiture du président américain Donald Trump.
Ce dernier a affirmé que les Etats-Unis faisaient pression pour qu'une trêve entre Israël et le Hamas soit conclue "dans le courant de la semaine prochaine".
"Tirer parti du succès est tout aussi important que de l'obtenir", a déclaré M. Netanyahu, alors que la rapidité avec laquelle s'est achevée la guerre de 12 jours entre Israël et l'Iran a ravivé l'espoir d'un arrêt des combats à Gaza.
"Nous sommes disposés à accepter toute proposition si celle-ci mène à la fin de la guerre", a dit à l'AFP un porte-parole du Hamas, Taher al-Nounou, précisant qu'il n'y avait eu "aucune percée jusqu'à présent".
La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas sur le sud d'Israël le 7 octobre 2023.
Cette attaque a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne.
Plus de 56.640 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes sur la bande de Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.