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Les médiateurs s'efforçaient lundi de surmonter les divergences entre Israël et le Hamas afin de débloquer les pourparlers sur une trêve dans la bande de Gaza, où des bombardements israéliens ont fait une vingtaine de morts.
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Israël et le mouvement islamiste palestinien s'accusent mutuellement d'enrayer ces négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, des Etats-Unis et de l'Egypte, sur la base d'une proposition prévoyant une trêve de 60 jours associée à une libération d'otages israéliens retenus à Gaza.
La Défense civile a annoncé que des bombardements israéliens avaient fait 22 morts lundi, à Gaza-ville, dans le nord du territoire, et à Khan Younès, dans le sud.
Selon lui, les discussions portent actuellement sur "les plans de redéploiement proposés des forces israéliennes à l'intérieur de Gaza".
Le président américain Donald Trump avait dimanche dit espérer un accord "la semaine prochaine".
Mais le Hamas a accusé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de faire obstacle à un accord. "Netanyahu est doué pour faire échouer chaque cycle de négociations l'un après l'autre et refuse de conclure un accord" de cessez-le-feu, a affirmé le mouvement.
Samedi, deux sources palestiniennes avaient déclaré à l'AFP que les discussions butaient sur une proposition d'Israël de maintenir des troupes dans le territoire, dévasté par 21 mois de guerre.
Le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, a toujours rejeté une telle éventualité, en réclamant des garanties sur le caractère permanent d'un cessez-le-feu et le retrait israélien du territoire.
Benjamin Netanyahu a de son côté répété ces derniers jours les objectifs de la guerre: libérer tous les otages, désarmer le Hamas et le chasser de Gaza.
- "Pas de trêve" -
"Il n'y a pas de trêve avec eux (Israël). Chaque goutte de sang sera vengée et notre vengeance ne s'éteindra ni avec le temps, ni avec les déplacements, ni avec la mort", a lancé à l'AFP, la voix brisée, Belal Al-Adlouni, qui a perdu son frère, sa belle-soeur et trois neveux dans une frappe sur leur tente à Khan Younès.
Selon le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, 10 Palestiniens ont été tués à Gaza-ville et 12 à Khan Younès.
L'armée israélienne, interrogée par l'AFP, n'a pas commenté ces informations. Elle a affirmé avoir détruit "des infrastructures terroristes" utilisées à Gaza-ville par le Hamas et le Jihad islamique.
Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.
- "Camp de concentration" -
La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël, qui a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
Sur les 251 personnes enlevées, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne.
Au moins 58.386 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israélienne à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Cette offensive a permis à l'armée israélienne de s'emparer de vastes secteurs de Gaza. Samedi, une source palestinienne a affirmé que le Hamas rejetait "totalement" un plan d'Israël prévoyant le maintien de ses forces "sur plus de 40% de la superficie de Gaza".
L'objectif d'Israël est "d'entasser des centaines de milliers de déplacés" dans le sud de Gaza, "en préparation d'un déplacement forcé de la population vers l'Egypte ou d'autres pays", selon elle.
En riposte, un responsable israélien a accusé le Hamas de "saboter les négociations".
Le 7 juillet, le ministre de la Défense Israël Katz a présenté un plan prévoyant l'établissement d'une zone fermée dans le sud de Gaza, en cas de trêve. Cette zone accueillerait dans un premier temps quelque 600.000 déplacés et à terme, l'ensemble de la population civile.
L'Unrwa, l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens, a comparé cette éventuelle installation à un "camp de concentration".