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Après une nouvelle vague de reconnaissance de l'Etat de Palestine, le président palestinien Mahmoud Abbas s'exprimera jeudi devant l'ONU par vidéo, empêché de se rendre à New York par l'administration Trump.
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Les Etats-Unis ont refusé d'accorder des visas à quelque 80 Palestiniens qui prévoyaient d'aller à l'Assemblée générale annuelle de l'ONU, dont celui du dirigeant palestinien.
Alignées sur Israël, les autorités américaines refusent à l'Autorité palestinienne le statut d'interlocuteur privilégié après près de deux ans de guerre à Gaza, se justifiant par le fait que celle-ci a refusé de "répudier le terrorisme" et "les campagnes de guérilla judiciaire" contre l'Etat hébreu devant les institutions internationales.
Plusieurs alliés des Etats-Unis, dont la France et le Royaume-Uni, ont tenté de convaincre Washington de réexaminer leur interdiction de visa pour le dirigeant palestinien de 89 ans, en vain.
En 1988, Yasser Arafat, alors chef de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), s'était également vu refuser de se rendre à New York pour une session spéciale de l'Assemblée générale de l'ONU, obligeant l'institution à la tenir à Genève.
Pour permettre à Mahmoud Abbas de prendre la parole, l'Assemblée générale a été contrainte de voter une résolution l'autorisant à intervenir dans une vidéo préenregistrée.
C'est par vidéo déjà que Mahmoud Abbas s'est exprimé lundi au sommet à l'occasion duquel plusieurs pays occidentaux, dont le Canada, le Royaume-Uni, l'Australie et la France ont rejoint la grande majorité des Etats membres de l'ONU reconnaissant l'Etat de Palestine (désormais au nombre d'au moins 151 sur 193, selon les vérifications de l'AFP).
- Nouveau plan de Trump -
Historique par son élan, ce mouvement n'a pour autant qu'une portée symbolique.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu qui s'exprimera vendredi devant l'Assemblée générale, a qualifié ces reconnaissances de "soumission honteuse au terrorisme palestinien" qui "n'obligent en rien Israël".
"Il n'y aura pas d'Etat palestinien", a-t-il tranché.
Concernant Gaza, l'émissaire américain Steve Witkoff a fait état mercredi d'un nouveau "plan en 21 points pour la paix au Moyen-Orient et à Gaza", présenté la veille par Donald Trump à plusieurs pays arabes et musulmans.
"Nous sommes pleins d'espoir, et je dirais même confiants, que dans les jours à venir nous serons en mesure d'annoncer une sorte de percée", a-t-il dit.
Après bientôt deux ans de guerre contre le Hamas, l'armée israélienne a lancé le 16 septembre une importante offensive aérienne et terrestre sur la ville de Gaza, le plus grand centre urbain de ce territoire, afin d'y éliminer ce qu'elle présente comme le dernier grand bastion du mouvement islamiste Hamas.
Jeudi, le siège de l'ONU accueillera également une réunion sur l'avenir de l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), accusée par Israël de complicités avec le Hamas.
"Depuis 75 ans, l'Unrwa a apporté une éducation de base et gratuite à des millions de Palestiniens réfugiés dans la région. Elle a des plans, la capacité d'accompagner un retour progressif à l'éducation dans Gaza, quand un cessez-le-feu sera décrété", a déclaré mercredi son président Philippe Lazzarini dans un plaidoyer pro domo.