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Une attaque au couteau qualifiée de "terroriste" par la police à fait un mort et quatre blessés lundi à Haïfa, la grande ville du nord d'Israël, premier attentat mortel dans le pays depuis le début de la trêve dans la bande de Gaza.
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L'attaque, dont l'auteur a été tué selon la police, est survenue dans une gare routière de cette ville côtière, au moment où la poursuite du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas apparaît incertaine tandis qu'Israël bloque l'accès de l'aide humanitaire à Gaza.
La police n'avait pas confirmé l'identité de l'assaillant en fin de matinée, mais la qualification d'"attentat terroriste" indique que l'attaque est liée au conflit israélo-palestinien.
Les secouristes du Magen David Adom ont indiqué avoir "constaté le décès d'un homme de 70 ans" et ajouté que leurs équipes soignaient quatre blessés, dont "trois dans un état grave", un homme et une femme dans la trentaine ainsi qu'un adolescent de 15 ans, et "une femme de 70 ans dans un état modéré".
Ville mixte judéo-arabe, Haïfa est la plus grande agglomération du nord d'Israël.
- L'aide humanitaire bloquée -
L'attaque a eu lieu alors que les négociations indirectes pour la poursuite de la trêve à Gaza, qui a fait taire les armes le 19 janvier après 15 mois de guerre, semblent dans l'impasse.
En cause, selon lui, le rejet par le Hamas d'un compromis américain prévoyant une extension de la première phase pendant le ramadan et la Pâque juive, soit jusqu'à la mi-avril.
Le plan stipule, selon Israël, que "la moitié des otages" israéliens retenus à Gaza, "morts et vivants", seraient rapatriés au premier jour de son entrée en vigueur. Les derniers otages seraient remis "à la fin, si un accord est trouvé sur un cessez-le-feu permanent".
Le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, a rejeté cette option, accusant Israël de vouloir "se soustraire" à ses engagements.
Il a réaffirmé sa "volonté d'aller au bout des (deux) étapes restantes de l'accord" initial, soit "un cessez-le-feu global et permanent" et le "retrait complet" israélien de Gaza, avant "la reconstruction et la levée du siège" du territoire.
Refusant pour l'heure de s'engager dans la deuxième étape, Israël exige que Gaza soit complètement démilitarisée et le Hamas éliminé, ce qu'exclut ce mouvement islamiste.
- "Meilleur ami d'Israël" -
Le Hamas a qualifié de "crime de guerre" le blocage de l'aide au territoire palestinien, dont les 2,4 millions d'habitants vivent assiégés par Israël depuis le début de la guerre.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé à "un retour immédiat de l'aide humanitaire dans Gaza", exhortant "toutes les parties aux efforts nécessaires pour éviter un retour des hostilités".
Une réunion ministérielle arabe est prévue lundi au Caire, suivie d'un sommet arabe consacré à Gaza.
Négocié par l'intermédiaire du Qatar, des Etats-Unis et de l'Egypte, l'accord de trêve comprend trois phases. Durant la première, le Hamas a rendu 33 otages, dont huit morts, à Israël, en échange de la libération d'environ 1.800 détenus palestiniens.
Sur les 251 otages emmenés à Gaza durant l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, 58 y sont toujours retenus, dont 34 ont été déclarés morts par l'armée israélienne.
L'attaque a fait 1.218 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité à Gaza.
La riposte de l'armée israélienne a fait au moins 48.392 morts à Gaza, en majorité des civils, d'après les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Dans ce contexte de fortes tensions, les Etats-Unis ont annoncé avoir accéléré l'envoi d'une aide militaire d'environ quatre milliards de dollars à Israël.
Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche le président Donald Trump pour cette aide qui permettra, selon lui, à Israël "de finir le travail contre l'axe iranien du terrorisme". M. Trump "est le meilleur ami qu'Israël ait jamais eu à la Maison Blanche", a-t-il dit.