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Donald Trump a réaffirmé ses visées expansionnistes dans son discours au Congrès, disant notamment vouloir s'emparer du Groenland "d'une manière ou d'une autre", mais il s'est attiré mercredi un net refus danois.
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"Cela ne se produira pas", a réagi le ministre de la Défense Troels Lund Poulsen auprès de la télévision publique danoise DR, soulignant un aspect "positif" du discours de M. Trump, la mention du respect des Groenlandais à décider de leur avenir.
Le président américain a en effet assuré "à l'incroyable peuple du Groenland" soutenir "fermement votre droit à déterminer votre propre avenir et, si vous le souhaitez, nous vous souhaitons la bienvenue aux Etats-Unis d'Amérique".
Il a toutefois insisté vouloir annexer ce territoire autonome danois "d'une manière ou d'une autre".
"Nous en avons vraiment besoin pour la sécurité internationale et je pense que nous allons l'obtenir. D'une manière ou d'une autre, nous l'obtiendrons", a-t-il dit dans ce premier discours de politique générale depuis son retour au pouvoir le 20 janvier.
"Nous assurerons votre sécurité, nous vous rendrons riches et, ensemble, nous mènerons le Groenland vers des sommets que vous n'auriez jamais imaginés possibles", a-t-il déclaré.
Le Groenland est sous le feu des projecteurs depuis fin décembre et le souhait répété de Donald Trump d'intégrer la plus grande île arctique aux Etats-Unis.
"Des élections auront bientôt lieu au Groenland et je pense que tout le monde - y compris nous-mêmes - doit faire attention à ne pas faire toutes sortes de suppositions sur l'avenir" des Groenlandais, a dit mercredi le chef de la diplomatie danoise Lars Løkke Rasmussen à la télévision TV2.
Dans la même veine, M. Trump a réitéré ses ambitions concernant le canal de Panama, le jour-même de l'annonce que deux ports détenus par le géant hongkongais Hutchison vont être cédés à un consortium américain.
"Pour renforcer encore notre sécurité nationale, mon administration va reprendre le canal de Panama, et nous avons déjà commencé à le faire", a-t-il affirmé, en faisant référence à cet accord.
Donald Trump a menacé de reprendre le canal dès le jour de son investiture au motif qu'il est, selon lui, exploité par la Chine.
Que ce soit à propos du Groenland, du canal de Panama ou encore de l'imposition de tarifs douaniers, y compris contre des pays alliés et voisins comme le Canada et le Mexique, le président américain montre clairement qu'il se soucie surtout de ses intérêts.
- Le Lesotho ? "Jamais entendu parler" -
S'il ne s'est guère attardé sur l'Ukraine, il n'en a pas moins assuré que son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, avec qui il avait eu un vif échange vendredi dans le Bureau ovale, était "prêt" à négocier avec la Russie et à signer un accord sur les minerais.
Plus tôt dans la journée de mardi, le dirigeant ukrainien avait dit vouloir "arranger les choses" avec le président américain après leur accrochage.
M. Zelensky était parti sans signer cet accord sur les minerais et l'administration Trump a ensuite annoncé le gel de son assistance militaire à l'Ukraine, trois ans après son invasion par la Russie.
"Simultanément, nous avons eu des discussions sérieuses avec la Russie et nous avons reçu des signaux forts indiquant qu'ils sont prêts pour la paix", a encore affirmé le président américain.
"Ne serait-ce pas magnifique ?".
Donald Trump ne s'est pas non plus épanché sur le Proche-Orient, si ce n'est pour dire "nous ramenons nos otages de Gaza" et rappeler son rôle au cours de son premier mandat dans la conclusion des accords d'Abraham, entre Israël et certains pays arabes.
Par ailleurs, il a promis de "faire la guerre aux cartels" mexicains de la drogue, parlant d'"une grave menace" pour la "sécurité nationale" des Etats-Unis.
Justifiant enfin les coupes budgétaires massives dans l'aide des Etats-Unis à l'étranger, le président américain a énuméré une série de "gaspillages" selon lui, comme les "40 millions de dollars pour des bourses d'études sur la diversité, l'équité et l'inclusion en Birmanie".
Il a aussi cité les "huit millions de dollars pour promouvoir les LGBT+ dans la nation africaine du Lesotho, dont personne n'a jamais entendu parler".