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Les médiateurs internationaux multiplient les efforts pour tenter de réduire les divergences entre le Hamas palestinien et Israël sur les modalités d'application de l'accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, avec des discussions au Caire et à Doha.
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Des négociateurs du mouvement islamiste Hamas discutent au Caire avec les responsables égyptiens alors qu'Israël a annoncé l'envoi lundi d'une délégation à Doha.
Arraché par les médiateurs - Etats-Unis, Qatar, Egypte - après des mois de négociations ardues, l'accord de trêve est entré en vigueur le 19 janvier après 15 mois d'une guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par une attaque d'une violence sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.
La première phase de l'accord, durant laquelle le Hamas a rendu 33 otages israéliens, dont huit morts, enlevés lors de l'attaque du 7-Octobre, et Israël a libéré environ 1.800 détenus palestiniens, s'est achevée le 1er mars.
Au Caire, les négociateurs du Hamas ont souligné "la nécessité de respecter tous les termes de l'accord, d'entamer directement les négociations pour la deuxième phase" et de l'entrée de "matériel de secours" sans restrictions ni conditions" dans le territoire palestinien assiégé par Israël depuis 17 mois, a indiqué dimanche le mouvement dans un communiqué.
- Réunion du cabinet de sécurité -
Mahmoud Mardawi, un haut responsable du Hamas, a réaffirmé dimanche l'engagement du mouvement "à mettre en oeuvre tous les termes de l'accord".
Il a de nouveau souligné "la nécessité d'obliger l'occupant (Israël) à mettre en oeuvre l'accord et à entamer immédiatement la deuxième phase des négociations selon les paramètres convenus".
"Les efforts des médiateurs égyptiens et qataris se poursuivent", a affirmé samedi le porte-parole du Hamas, Abdel Latif Al-Qanou, en évoquant des "signaux positifs".
Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé l'envoi, à "l'invitation des médiateurs soutenus par les Etats-Unis", d'une délégation lundi à Doha "dans le but de faire avancer les négociations".
Selon des médias locaux, le cabinet de sécurité israélien doit se réunir dimanche pour établir le cadre du mandat de cette délégation.
Israël souhaite une extension de la première phase du cessez-le-feu jusqu'à la mi-avril. Il réclame la "démilitarisation totale" du territoire, le départ du Hamas de Gaza et le retour des derniers otages avant de passer à la deuxième phase.
Le Hamas, qui insiste pour rester à Gaza où il a pris le pouvoir en 2007, réclame des négociations immédiates pour appliquer la deuxième phase.
- "Du sang sur les mains" -
En riposte à l'attaque du 7-Octobre, Israël a juré de détruire le Hamas et lancé une offensive destructrice à Gaza qui a fait au moins 48.440 morts en majorité des civils, d'après les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Elle a aussi provoqué un désastre humanitaire dans le territoire exigu où s'entassent quelque 2,4 millions de Palestiniens.
L'attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.218 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité après leur enlèvement ce jour-là.
Samedi, des proches des otages ont appelé à oeuvrer pour un accord qui permettrait de ramener tous les otages, lors d'un rassemblement à Tel-Aviv.
"Si vous reprenez la guerre, les otages mourront à cause de vous. Vous aurez leur sang sur les mains", a averti à l'adresse de M. Netanyahu Omri Lifshitz, dont le père Oded est mort en captivité.
Mercredi, Donald Trump a lancé un "dernier avertissement" au Hamas l'enjoignant de libérer les otages. "Au peuple de Gaza: un bel avenir vous attend, mais pas si vous gardez des otages. Si vous le faites, vous êtes MORTS!"